Retour sur l’École d’été « Mer et Journalisme 2021 »

,

Ecole d’été « Mer et Journalisme 2021 » : de l’océan des extrêmes et des crises au développement durable

La troisième école d’été « Mer et Journalisme », co-organisée par l’Ecole Universitaire de Recherche ISblue, l’Ecole Supérieure de Journalisme de Lille (ESJL), l’Institut France Québec Maritime (IFQM), le Club de la Presse de Bretagne (CPB), et Océanopolis s’est tenue les 24 et 25 août à l’IUEM, en présentiel et en distanciel. Les journalistes étaient originaires du Grand Ouest de la France, de Guyane, de Belgique et du Québec, les media représentés étant The Conversation France, Ouest-France, Le Télégramme, Radio Evasion, Radio-Canada, Radiotélévision Belge Francophone RTBF, et des free-lances, soit au total 23 participants. Pour des raisons spécifiques, 3 journalistes africains (Sud Quotidien, Sénégal, Radio communautaire Banyo FM, Cameroun, et Radio Okapi, République Démocratique du Congo) n’ont pu participer en visioconférence mais ont gardé le contact.

La vie sur Terre et son évolution

S’agissant de l’apparition de la vie et de son évolution, avec Franck Selsis, astrophysicien du CNRS à Bordeaux, les participants se sont d’abord envolés vers l’univers pour pouvoir répondre à la question : des océans existent-ils dans la galaxie ? la réponse est clairement oui. Certains sont situés dans des zones « habitables », en prenant l’eau sous forme liquide comme critère d’habitabilité. Quant à la question implicite « la vie (basée sur le carbone) existe-t-elle dans d’autres exoplanètes ? », nous avons vu comment la recherche s’organise pour y répondre. Suite aux conférences d’Anne Godfroy (Ifremer, Brest) et de Marcel Babin (Université Laval, Québec, Canada), nous réalisons qu’après la naissance de la vie sur la planète Terre/Océan il y a plusieurs milliards d’années, en se diversifiant en une multitude d’espèces, les êtres vivants ont été capables de s’adapter à des environnements aussi différents que les milieux hydrothermaux profonds sous-marins (chauds, sans dioxygène, acides…) et les océans polaires (froids, voire englacés). La conférence de Virginie Guiraudon (Sciences Po, Paris) nous a rappelé que l’espèce humaine a toujours migré et que la mise en place récente de différents accords en Europe dans les années 1990 modifie les migrations. Soumise à des pressions de diverses natures (économique, sociale, politique, ou climatique), des hommes font le choix de quitter leur environnement d’origine pour migrer vers d’autres plus attractifs, les océans servant souvent de vecteurs de migration. Dans la très large perspective historique que la conférencière a brossée, il apparait que la période actuelle, caractérisée par d’importants mouvements de peuples d’Afrique ou du Moyen-Orient vers l’Europe, notamment via la Méditerranée, a été précédée par de nombreux déplacements d’Européens à travers l’océan Atlantique, à destination de l’Amérique du Nord et du Sud.

Légende : Anne-Marie Tréguier, directrice de l’Ecole Universitaire de Recherche ISblue ouvre la 3ème école d’été Mer et Journalisme 2021

Changement climatique et ressources biologiques

S’agissant des impacts du changement climatique sur l’océan et de l’exploitation des ressources biologiques marines, Valérie Masson-Delmotte (LSCE, Paris), coprésidente du groupe de travail n°1 du GIEC, a montré aux journalistes comment utiliser les documents mis à leur disposition par le GIEC, et a rappelé le rôle majeur joué par l’océan dans la régulation du climat ainsi que les impacts du changement en cours sur l’océan et pour les écosystèmes marins. Philippe Cury (représentant de l’IRD à Bruxelles) a démontré que la pression anthropique sur les ressources biologiques marines doit fortement diminuer pour rendre possible un développement durable. Dans cette perspective, la mise en oeuvre d’une approche écosystémique des pêches, qui a déjà révélé son efficacité dans plusieurs écosystèmes marins du sud de l’Afrique et au Québec, devrait être considérée. Il faut définitivement penser le futur des pêches dans un contexte global.

Ateliers journalistes-scientifiques

Ces conférences étaient suivies d’ateliers animés par Jennifer Gallé (The Conversation France), Stéphane de Vendeuvre (CPB), Karine Alain (CNRS, IUEM), Brivaela Moriceau (CNRS, IUEM), Maria José Fernandez Vicente (UFR Lettres, UBO), Yvanne Bouvet (UFR Lettres, UBO), et François Le Loc’h (IRD, IUEM). Au cours de ces ateliers traitant des milieux côtiers devenus anoxiques (sans dioxygène) du fait d’une trop forte pression anthropique, des impacts du changement climatique sur l’océan polaire austral, des migrations humaines, et de la mise en oeuvre d’une approche écosystémique des pêches, les journalistes, en interaction avec des scientifiques, ont pu élaborer la trame d’articles ou d’interviews à venir sur ces différents sujets et accroître leurs réseaux de contacts.

Crédit photos

Sébastien Hervé / UBO

Contacts

Pauline Letortu / UBO

Paul Treguer / UBO

 

Ingénieur(e) pour l’enseignement numérique

«Icelandia» – L’Islande est-elle le centre d’un vaste continent englouti ?

, ,

Des universitaires pensent avoir découvert un remarquable secret géologique : un continent englouti caché sous l’Islande et l’océan environnant, qu’ils ont baptisé «Icelandia».
Une équipe internationale de géologues, animée par Gillian Foulger, professeur émérite de géophysique au département des Sciences de la Terre de l’Université de Durham (Royaume-Uni), pense que le continent englouti pourrait s’étendre du Groenland jusqu’à l’Europe. Laurent Geoffroy du LGO a participé à cette réflexion.

Une nouvelle théorie révolutionnaire

Les scientifiques pensent que le continent immergé couvre une superficie d’environ 600 000 km2, mais si l’on inclut les zones adjacentes à l’ouest de la Grande-Bretagne dans une «Grande Islande», la superficie totale pourrait atteindre environ 1 000 000 km2.

Si cette théorie est confirmée, cela signifie que le supercontinent géant de la Pangée, dont on pense qu’il s’est disloqué il y a plus de 50 millions d’années, ne s’est en fait pas complètement désagrégé.
Cette nouvelle théorie remet en question des idées scientifiques de longue date concernant l’étendue de la croûte océanique et continentale dans la région de l’Atlantique Nord, et la façon dont les îles volcaniques, comme l’Islande, se sont formées.

Une collaboration anglo-franco-norvégienne

La présence d’une croûte continentale, plutôt qu’océanique, pourrait également susciter des discussions sur une nouvelle source de minéraux et d’hydrocarbures, tous deux contenus dans la croûte continentale.
Cette nouvelle théorie révolutionnaire est née d’une série innovante de réunions d’experts tenues à Durham et fait l’objet d’un chapitre dédié dans l’ouvrage In the Footsteps of Warren B. Hamilton : New Ideas in Earth Science publié le 29 juin 2021 par la Geological Society of America, que le professeur Foulger a co-écrit avec le Dr Laurent Gernigon du Geological Survey of Norway et le professeur Laurent Geoffroy du Laboratoire Géosciences Océan (LGO).

À propos de cette nouvelle théorie, le professeur Foulger a déclaré :

«Il y a un travail fantastique à faire pour prouver l’existence de l’Icelandia, mais cela ouvre aussi une perspective complètement nouvelle sur notre compréhension géologique du monde. Un phénomène similaire pourrait se produire dans de nombreux autres endroits. […] Nous pourrions éventuellement voir les cartes de nos océans et de nos mers être redessinées au fur et à mesure que notre compréhension de ce qui se trouve en dessous évolue.»

Télécharger ici le chapitre dédié à Icelandia.

Crédits photos

Gillian Foulger / Durham University, Laurent Geoffroy / UBO & Laurent Gernigon / NGU

Contact

Laurent Geoffroy / UBO

 

 

Laure Taupin, ingénieure d’études au LBCM

,

Que faisais-tu avant de venir à l’IUEM ?

J’ai d’abord obtenu une licence de biochimie et de biologie moléculaire. Ensuite, j’ai validé un master professionnel en biochimie structurale et protéomique en 2007 à l’université Paul Sabatier de Toulouse. Durant mon master, j’ai appris différentes techniques de caractérisation des molécules et de leur structure. J’ai également effectué un stage de 6 mois, à Sanofi, une industrie pharmaceutique de Montpellier. L’objectif était de déterminer des structures 3D moléculaires à l’aide de la diffraction aux rayons X. J’avais pour fort souhait d’intégrer un laboratoire de recherche porté sur les études structurales. Ainsi, fin 2007, je suis rentrée au LBCM, Laboratoire de Biotechnologies et de Chimie Marines, en qualité d’ingénieure d’études en analyse chimique à Lorient. En 2016, le LBCM est devenu une unité de recherche de l’IUEM.

Pourquoi as-tu choisi l’IUEM ?

En 2012, le LBCM avait déjà un statut de laboratoire associé à l’IUEM. En 2016, il a concrétisé son intégration en devenant un laboratoire de l’IUEM et il est lié avec deux autres laboratoires à l’axe « Biotechnologies Marines ». C’est donc naturellement que moi aussi j’ai rejoint l’IUEM.

Que fais-tu à l’IUEM ?

Ma spécialité est l’analyse chimique. Cette branche d’activité permet d’identifier des molécules et de pouvoir les quantifier. Je participe à des travaux de recherche avec des étudiants en masters, des doctorants, des post docs ainsi que des chercheurs sur des thèmes de caractérisation structurale qui consistent à identifier une molécule responsable d’une activité biologique.

Le LBCM est reconnu pour son expertise sur les biofilms. Le biofilm est un mode de vie bactérien. Au départ du développement d’un biofilm, les bactéries adhèrent à une surface et sécrètent une matrice qui les enveloppe et les protège de l’environnement extérieur. Ce mode de vie est sous le contrôle de signaux moléculaires qui permettent aux bactéries de synchroniser leur phénotype comme la sécrétion de matrice. Une partie de mon activité consiste à identifier et quantifier ces signaux moléculaires.

En plus de mes activités au laboratoire, j’ai la chance de pouvoir animer des travaux pratiques et des travaux dirigés pour des étudiants de licence et de première année de master. Ces enseignements portent sur la chimie, de la réalisation de dosages au développement de méthodes analytiques et pour les étudiants en master, sur une semaine d’initiation à la recherche.

As-tu des anecdotes professionnelles à nous raconter ?

Oui, j’ai une anecdote que je ne suis pas prête à oublier. J’ai l’opportunité d’enseigner. Pour un tout premier TD, je me rapproche de la salle d’enseignement, rentre dans la salle et, en voulant refermer la porte, je tire sur la poignée… qui me reste dans la main après que la porte se soit refermée. Je repense à tous les étudiants surpris d’être enfermés avec moi dans cette pièce. Sur le coup, ça m’a fait rire et a eu l’effet de laisser s’envoler le trac que j’avais.

Quel est ton plus beau souvenir de boulot ?

De manière générale, les meilleurs souvenirs professionnels sont les échanges motivés et bienveillants avec les étudiants et les chercheurs sur leurs projets de recherche.

Si je dois en retenir un, ce serait une réunion de travail pour le démarrage d’un projet.

Nous étions une quinzaine de personnes dans un gîte : étudiants de Master 2 et enseignants-chercheurs. Il y avait notamment une équipe de l’université de Rouen avec laquelle on collabore depuis plus de 10 ans. Après nous être répartis les missions, chaque chercheur travaillant sur une souche bactérienne particulière, nous avons passé un agréable moment de convivialité.

Quels sont tes centres d’intérêt ?

J’aime beaucoup voyager et le sport tel que la course à pied ou le volley-ball. J’aime beaucoup l’Espagne, notamment Barcelone, l’Italie avec Rome et Lisbonne pour ses différents quartiers avec ses ambiances singulières.

As-tu une devise ?

Oui, je dirais qu’en recherche il faut aimer se poser des questions.
Et il y en a aussi une plus classique mais qui fait sens pour moi : « Ne remets pas à demain, ce que tu peux faire aujourd’hui ».

Crédit photos :

Ambre Gautier / UBO

Contact :

Laure Taupin / UBS

Researcher recruitment by contractual means

L’IUEM réduit ses déchets à travers le projet PPP

,

Les objectifs du projet Preventing Plastic Pollution

Lancé en 2020 par l’Université Queen Mary de Londres, le projet Interreg France (Manche) Angleterre Preventing Plastic Pollution (PPP) se déploie à grande échelle pour prévenir et éliminer la pollution par les déchets plastiques dans des zones sensibles en France et en Angleterre.
Dans sept sites pilotes (la rade de Brest, la Baie de Douarnenez, la Baie des Veys, la zone de Medway, les fleuves du Tamar et du Great Ouse, et le port de Poole), le projet Preventing Plastic Pollution participe au développement de modèles permettant d’identifier les zones critiques de pollution plastique et d’évaluer à la fois les sources mais aussi le devenir des débris plastiques.

L’implication du CNRS et d’Ifremer au travers du LEMAR

Auprès de 17 autres partenaires, le LEMAR via ses tutelles CNRS et Ifremer est impliqué dans une démarche scientifique visant à évaluer la toxicité des débris plastiques sur les organismes marins, à effectuer des campagnes d’échantillonnage des microplastiques dans la rade de Brest, la baie de Douarnenez ainsi que dans la mer d’Iroise dans le but d’évaluer les niveaux et l’évolution temporelle de cette contamination. Ces travaux permettront ainsi d’évaluer l’efficacité des mesures de réduction des déchets plastiques mises en place progressivement sur les bassins versants concernés par les autres partenaires du projet PPP : installation de filets de rétention aux exutoires, de bacs à marée, actions collectives de ramassages de déchets…

La réduction des déchets à l’IUEM

En complément de ces actions, le projet porte également un volet supplémentaire déployé à l’échelle d’Ifremer et de l’IUEM. Cette démarche a pour objectif de mettre en place des actions très concrètes visant à réduire la production de déchets plastiques dans les bureaux et les laboratoires de l’Institut. Le projet participe également au déploiement de système de collecte et de tri des déchets plastiques afin d’en améliorer la fin de vie et de permettre leur valorisation par recyclage, en lien avec les acteurs locaux. Cette action s’inscrit enfin dans une volonté de transformer l’IUEM en un site pilote expérimental pour envisager une possible extension des mesures à d’autres bâtiments de l’Université de Bretagne Occidentale.

Les avis et attentes du personnel de l’IUEM sur cette démarche

Afin de lancer cette démarche de réduction et de tri des déchets, un questionnaire a été diffusé auprès du personnel de l’Institut pour collecter leurs avis et leurs attentes sur ces thématiques. En un mois de diffusion, 164 participations ont été collectées. Les principaux résultats sont diffusés dans l’infographie ci-après.

Infographie Sondage déchets IUEM

Et concrètement ?

Cet objectif de réduction des plastiques sera atteint par l’installation d’ilots de tri multi-flux dans les trois bâtiments de l’Institut pour favoriser un tri à la source ; par la mise à disposition d’alternatives renouvelables aux plastiques jetables à usage unique pour ceux qui en feront la demande ; ou encore par la réduction de la consommation de certains plastiques de laboratoire. Un travail en faveur de l’élaboration d’une charte « Evènement 0 plastique » sera également mené et des temps de formation et de sensibilisation auprès du personnel seront aussi prévus dans les mois à venir. Engager le personnel de l’IUEM dans cette démarche qui œuvre pour un Institut plus durable, et qui nous concerne tous, c’est tout l’intérêt du projet PPP !

Pour plus d’informations sur le projet PPP, c’est ici. Retrouvez également une vidéo de présentation du projet sur la chaîne YouTube du LEMAR.

Crédits photos

Alastair Scarlett

Sébastien Hervé / UBO

Contacts

Mallorie Bodériou / CNRS

Ika Paul-Pont / CNRS

7ème édition de l’Université d’été Mer Education

,

L’Ecole Universitaire de Recherche (EUR) ISblue propose cette année son Université d’été du 23 au 26 août 2021 à l’IUEM (Plouzané) en étroite collaboration avec l’UBO, Ifremer, Océanopolis et  l’Académie de Rennes. Cette formation, à destination de tous les enseignants du second degré (collèges et lycées), a pour objectifs de participer à leur formation continue, de contribuer au lien lycées-université et d’accroître la visibilité de la Bretagne en termes de recherche en sciences de la mer et du littoral.

L’Université d’été Mer & Education représente l’occasion de faire vivre aux participants une expérience d’immersion dans les actualités des sciences de la mer, du littoral et des technologies marines. Elle engendre aussi une prise de conscience sur la complexité du sujet abordé en mêlant histoire, enjeux sociétaux, conflit d’intérêts, incertitudes scientifiques etc. La formation fournit également aux participants une présentation des outils scientifiques, techniques et documentaires, ainsi que des bases de données qu’ils pourront réutiliser et réinvestir en classe.

Cette année la thématique sera : « Océan : explorer sans limite ? » et la formation se composera de trois parcours : • Tropical • Polaire • Abysse. Des conférences seront données le matin et des ateliers de médiation scientifique viendront en complément l’après-midi. Nouveauté pour l’année 2021 : l’Université d’été est inscrite au Plan Académique de Formation (PAF : catalogue des formations continues des enseignants du secondaire, au rectorat de Rennes).

Pour en savoir plus

Crédit photo

Sébastien Hervé / UBO

Contacts

Riwalenn Ruault / UBO

Quentin Milliere / UBO

SILICAMICS 3

SILICAMICS 3

Biogéochimie et génomique de la silicification et des organismes silicifiés

12-15 Octobre 2021

Conférence en ligne

Second Institute of Oceanography, Hangzhou (Chine)

Afin de poursuivre le développement d’une approche intégrée comprenant la chimie, la biogéochimie, la biochimie, la physiologie et la génomique pour mieux comprendre la biosilicification et les silicificateurs dans les océans passés, contemporains et futurs, la conférence SILICAMICS 3 facilitera une fois de plus l’échange d’informations entre les scientifiques de différentes disciplines et expertises liées au “silicium”, dans le but de faire progresser notre compréhension de l’impact des silicificateurs sur la Terre.

La troisième conférence SILICAMICS est organisée par le Second Institut d’océanographie du ministère des Ressources naturelles (République populaire de Chine). Elle aura lieu en octobre 2021 à Hangzhou (capitale de la province du Zhejiang, Chine) en ligne.

Objectifs


  • Renforcer les interactions entre les chercheurs de différentes disciplines, telles que la chimie, la biochimie, la physiologie, la biogéochimie et la génomique, afin de mieux comprendre les processus de silicification et le rôle des silicifiants dans les écosystèmes marins
  • Faciliter un dialogue constructif entre les scientifiques chevronnés de haut niveau et les chercheurs en début de carrière grâce à un format de conférence de type Gordon qui fournira des occasions précieuses et stimulantes d’apprentissage mutuel
  • Créer un réseau pour la préparation de futures propositions de recherche en vue d’obtenir un financement national et international de la recherche

Thématiques


Après une introduction sur le rôle potentiel du silicium comme élément constitutif de la vie, cette conférence comprend des conférences invitées, des communications orales et des posters, autour de 7 thèmes, qui incluent :

  • Variations passées du cycle global de la silice
  • Mise à jour du cycle du silicium dans l’océan moderne
  • Outils génomiques et protéomiques pour les silicificateurs
  • Silicificateurs pélagiques et benthiques
  • Cycle de la silice dans les écosystèmes côtiers
  • La chimie isotopique comme outil pour la mesure des processus et des flux
  • Modélisation du cycle du silicium et des silicifiants dans l’océan moderne et futur

Comité scientifique


Kate Hendry (University of Bristol)

Su Mei Liu (Ocean University of China)

Manuel Maldonado (CSCIC, Blanes)

Aude Leynaert (CNRS, IUEM-UBO, Brest)

Brivaela Moriceau (CNRS, IUEM-UBO, Brest)

Jill Sutton (IUEM, Brest)

Paul Tréguer (IUEM-UBO, Brest)

Jianfang Chen (SIO, Hangzhou)

Fei Chai (SIO, Hangzhou)

Fabrice Not (CNRS, Sorbonne University)

Comité d’organisation


Jianfang Chen (SIO, Hangzhou)

Fei Chai (SIO, Hangzhou)

Lihua Ran (SIO, Hangzhou)

Soumission des abstracts


Soumission des abstracts :

Le texte de votre résumé est limité à 350 mots et vous pouvez inclure des photos ou des diagrammes (au format JPG ou PNG), ainsi que des références.

Veuillez envoyer votre contribution par courriel à Lihan Ran et Paul Tréguer.

Dates limites :

  • 25 Juillet 2021 : limite pour la soumission des abstracts (communication orale ou poster )
  • 31 Juillet 2021 : décision prise pour les communications orales ou par poster

Inscription

Les inscriptions en ligne sont ouvertes du 15 juillet au 15 septembre 2021



Frais d’inscription

CategoryOnline Meeting Fee
Professionals400 RMB (~ 52 Euros)
Students or Retired Professionals150 RMB (~ 20 Euros)

Tous les frais sont indiqués en RMB et incluent les taxes.

Les frais d’inscription comprennent

  • La participation au programme
  • Documents de la conférence

Remboursement

Si les participants demandent une annulation et un remboursement pour des raisons personnelles, la politique de remboursement suivante s’applique.

* Avant le 15 septembre : remboursement de 50 % du paiement

* Du 15 septembre au 1er octobre : remboursement de 20 % du paiement.

* Après le 1 octobre : aucun remboursement

Toute demande d’annulation et de remboursement doit être formellement envoyée par écrit à l’adresse électronique de la conférence.

La campagne de la taxe d’apprentissage, ensemble pour la mer

Partenaires privilégiés de l’IUEM, investissez votre taxe d’apprentissage à l’Institut

Soutenir l’IUEM, c’est afficher votre engagement face aux problématiques contemporaines et futures qui touchent les sciences de la mer et qui nous concernent toutes et tous : pollution maritime, climat, études des organismes marins, études des algues et santé, érosion de plages, régulation des pêches…

Soutenir l’IUEM, c’est participer à mieux former les futures générations de scientifiques par l’acquisition d’équipement et d’outils.

Soutenir l’IUEM, c’est associer son image avec celle d’un Institut mondialement reconnu, innovant, qui se projette et entreprend !

Pour en savoir plus

Pour soutenir l’IUEM

Paiement directement en ligne (ATTENTION l’IUEM se trouve en fin de menu déroulant)

Paiement par formulaire

Crédit photo

Sébastien Hervé / UBO

Contacts

Carole Le Hir / UBO

Elena Le Goff / UBO