Archive d’étiquettes pour : formation

L’IUEM ouvre ses portes le samedi 17 février 2024

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L’IUEM vous accueille lors de sa Journée portes ouvertes le Samedi 17 février 2024 de 9h à 17h.

Nous aurons le plaisir de vous recevoir dans nos locaux afin d’y découvrir les enseignements dispensés à nos étudiants au sein des 8 Masters en sciences de la mer et du littoral :

Des expérimentations seront mises en avant par des scientifiques de nos unités de recherche qui vous feront partager leur passion pour le monde de la recherche marine.

Les enseignants-chercheurs, chercheurs, étudiants, doctorants, ingénieurs et techniciens se feront un plaisir de répondre à vos questions. Vous pourrez échanger avec eux sur les débouchés, les spécificités de chaque parcours, les unités de formation…

Seront également proposées des projections de vidéos.

Nous vous attendons nombreux !

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Sébastien Hervé / UBO

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Cécile Nassalang / CNRS

 

 

 

Journée Portes Ouvertes (JPO) UBO à Brest le samedi 4 mars 2023

L’IUEM tiendra un stand le samedi 4 mars 2023 de 9h à 17h à la Faculté des Sciences et Techniques de l’UBO avenue Le Gorgeu à Brest. Des enseignants-chercheurs, chercheurs, étudiants, doctorants, ingénieurs et techniciens de 5 des 8 Masters en sciences de la mer et du littoral partageront avec les visiteurs leur passion pour le monde de la recherche marine, notamment par la découverte de nos formations :

À la Faculté des lettres et sciences humaines (Expertise et Gestion de l’Environnement Littoral (EGEL)), des ancien.ne.s étudiant.e.s, tiendront également un stand. Concernant la Faculté de droit (Masters Droit des activités maritimes et Économie appliquée), des enseignants-chercheurs et responsables de ces 3 Masters seront présents et les visiteurs pourront les solliciter.

Nous vous attendons nombreux !

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Cécile Nassalang / CNRS

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Cécile Nassalang / CNRS

 

La COP27 à Brest, du climat dans le débat !

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Du 7 au 20 novembre 2022, l’UBO à travers l’IUEM et l’initiative Ocean University s’est engagée auprès de Brest métropole pour proposer quinze jours dédiés au partage, au débat et à l’engagement pour le climat, à l’occasion de la COP27 en Égypte.

Vous n’avez pas pu assister aux événements locaux ou suivre la COP27 à Charm el-Cheikh ? Voici quelques vidéos en guise de séance de rattrapage ! 

Liste de lecture

Ces vidéos vous sont proposées par Apolline Jesiolowski, Izia Colineaux et Chaimae Meyad, trois étudiantes qui se sont rendues à la COP27 en Égypte en tant qu’observatrices UBO.

Expérience inédite pour l’Université, ces trois étudiantes se sont rendues sur le site officiel de la COP climat pour rendre plus tangibles les négociations internationales en lien avec l’océan et les faire partager au plus grand nombre. En lien avec leurs enseignements, elles ont également assisté à de nombreuses conférences sur les enjeux environnementaux et climatiques.

Bon visionnage !

De retour à Brest, Apolline a partagé son expérience avec le public de 70.8 aux côtés de Céline Liret, directrice scientifique d’Océanopolis, et de Valentin Roussarie, étudiant en Master 2 E2AME qui a suivi la partie finance pendant toute la durée de la COP.

Trois formats de rencontre ont été également proposés pour échanger avec tous les publics.

L’Agora Glaz, installée simultanément au PN2B, à l’ENSTA Bretagne, à l’IUEM et à l’Université Mohammed V de Rabat, a permis de brosser, sur trois rendez-vous méridiens, un large panorama des négociations sur le climat. En partant des initiatives et problématiques locales, avec l’intervention de Glen Dissaux (élu brestois en charge du Plan Climat) vers l’international et la recherche avec Marie-Clémentine Corvest (doctorante en histoire au CRBC) et Amandine Nicolle (enseignante-chercheure à l’ENSTA) l’idée a été de rapprocher ces espaces de haut niveau politique et les mondes de la recherche et de la formation, pour faire connaître les processus de négociations, les accords en cours et surtout partager des connaissances pour mieux les comprendre et les décrypter.

Les enregistrements sont disponibles sur la chaîne YouTube de l’UBO.

La filiale EMR sur le port de Brest

Une soirée projection-débat du film documentaire “Contre vents et Marées” a réuni une centaine de personnes au cinéma Les Studios. Avec la présence d’une des co-réalisatrices et trois spécialistes des études d’impact environnementales des infrastructures EMR, de nombreuses questions ont été soulevées pendant la deuxième partie de soirée. À l’image des débats publics, les intervenants se sont prêtés à l’exercice, là aussi, de décryptage sur les questions d’impact des installations EMR sur l’environnement, de conflits d’usage, de mix énergétique français… 

Aurélie Jolivet, Damien Saffroy, Adeline Bas et Bénédicte Payot répondant aux questions de Joëlle Richard et du public des Studios.

Un sujet, un intervenant, un objet

Dans la continuité des actions de sensibilisation, quatre mini-conférences ont été proposées à 70.8, la galerie de l’océan. 130 personnes se sont rendues aux Ateliers des Capucins le dernier dimanche de la COP pour mettre du concret sur les grands enjeux de l’océan de demain et découvrir les objets apportés par les quatre intervenants ! 

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Charline Guillou / UBO

Contacts

Joëlle Richard / UBO

Charline Guillou / UBO

Ce travail a été soutenu par le projet ISblue “Interdisciplinary graduate school for the blue planet” co-financé par une aide de l’État gérée par l’Agence Nationale de la Recherche au titre du programme « Investissements d’avenir » intégré à France 2030, portant la référence ANR-17-EURE-0015.

Valérie Cueff-Gauchard, Ingénieure microbiologiste et étudiante en thèse au BEEP

Que faisais-tu avant de venir à l’IUEM ?

Avant d’arriver au BEEP, j’ai découvert le domaine de la mer par un stage de fin d’études de DUT en biologie appliquée à l’UBO, réalisé à la Station biologique de Roscoff (SBR) dans le laboratoire de microbiologie marine qui allait rapidement migrer à l’IUEM en 1999. Ce laboratoire a ensuite fusionné avec le laboratoire Ifremer de « Microbiologie et Biotechnologie des Extrémophiles » (LMBE) pour devenir le LMEE qui s’est agrandit cette année pour devenir l’unité BEEP. Lors de mon stage, j’ai caractérisé une nouvelle souche bactérienne extrêmophile inconnue, isolée au niveau des sources hydrothermales. Cela consistait à établir sa carte d’identité : gamme de température de croissance, de pH, de salinité, déterminer les substrats avec lesquels elle se nourrit… 4 mois après l’obtention de mon diplôme, l’Ifremer recherchait un technicien en CDD sachant cultiver ce type de bactéries exotiques. J’ai donc été recrutée en CDD à l’Ifremer, en novembre 1998, grâce à mes compétences acquises lors de mon stage. Et après 2 ans de CDD, un poste de technicien de laboratoire a été créé sur lequel j’ai candidaté et j’ai été recrutée en CDI en 2000.

En 2006, j’ai repris mes études suite à une VAE pour faire un Master en microbiologie fondamentale et appliquée à l’UBO. J’ai été exemptée de stage en M1 vu mon expérience professionnelle et j’ai choisi de changer de domaine pour mon stage de M2. J’ai donc passé 9 mois à la SBR où j’ai participé aux travaux de thèse d’Aurélie Chambouvet sous la direction de Laure Guillou. J’y ai étudié les relations entre un parasite et ses hôtes, des microalgues potentiellement toxiques prélevées dans la baie de Penzé, donc très éloignées des sources hydrothermales. Le monde étant très petit, j’y ai retrouvé mon premier encadrant, Christian Jeanthon. Puis Aurélie a été recrutée au LEMAR avant de repartir récemment à Roscoff.

Pourquoi as-tu choisi l’IUEM ?

Étant du coin, j’ai une attache forte à la Bretagne et à la mer. Mon diplôme me destinait plutôt à être technicienne en laboratoire d’analyses médicales ; la microbiologie m’attirait beaucoup et mon choix de stage m’a donné l’opportunité de découvrir la recherche en milieu marin. Je pensais à l’époque que la recherche était destinée aux chercheurs mais je me suis rendue compte que la recherche avait aussi besoin de techniciens. Néanmoins, je voyais ce milieu comme inaccessible car il y a très peu de postes. Ce sont des opportunités dues au hasard qui m’ont permis d’y faire ma carrière tout en restant près de ma famille ; je me suis trouvée au bon endroit au bon moment.

 

Que fais-tu à l’IUEM ?

Je travaille principalement sur les interactions symbiotiques entre les bactéries et différents modèles d’animaux des grands fonds, en particulier une crevette hydrothermale à grosse tête, Rimicaris exoculata. Cette crevette abrite dans sa tête des communautés bactériennes abondantes et diversifiées, qui lui servent de garde-manger pour simplifier.

Ce qui est intéressant dans mon travail, c’est la variété de fonctions que je peux occuper. En tant qu’ingénieure, je viens en soutien de différents projets de recherche du laboratoire, surtout sur des techniques de biologie moléculaire mais aussi d’imagerie. Je suis amenée à préparer le matériel pour des missions océanographiques hauturières auxquelles je participe régulièrement. Au laboratoire, je mets au point des protocoles, j’analyse les résultats et les mets en forme.

Ayant soif de nouveaux challenges, en parallèle de mon métier d’ingénieur, j’ai commencé une thèse il y a 4 ans qui porte sur le fonctionnement in-situ des communautés bactériennes de ma crevette fétiche. Pour cela, j’ai été amenée à développer un nouvel outil de prélèvement et de fixation in situ des animaux mobiles dans les grandes profondeurs, avec l’appui de techniciens et d’ingénieurs en instrumentation. J’ai également dû plonger dans le monde obscur de la bioinformatique et des lignes de codes qui m’était totalement inconnu jusque-là. Et en ce moment, je me suis attelée à la rédaction de mon 1er article en tant que 1er auteur. Mais à l’issue de ma thèse, c’est en tant qu’ingénieure de recherche et non pas de chercheure que je continuerai ma route. Car plus que la rédaction d’articles et de projets, c’est le développement de nouvelles technologies et méthodologies qui me motive au quotidien.

 

Je consacre aussi beaucoup de temps à la dimension collective du laboratoire : transmettre les bonnes pratiques de laboratoire, les consignes de sécurité, assurer la gestion des appareils et des stocks, former les étudiants, doctorants, post-docs aux techniques et à l’utilisation des appareillages. J’encadre des stagiaires de niveau 3ème jusqu’au Master2. J’ai même organisé des formations techniques collectives sur différentes méthodes, ce qui m’a amené à aller former une équipe en Nouvelle-Calédonie. De plus, j’ai pris en charge la co-animation scientifique du thème transversal du laboratoire « développements méthodologiques et technologiques ».

As-tu des anecdotes professionnelles à nous raconter ?

Lors d’une mission océanographique, un de mes anciens directeurs de laboratoire voulait travailler sur les bactéries associées aux éponges marines. Il avait donc demandé qu’on lui remonte des éponges lors d’une plongée scientifique avec le sous-marin ROV Victor 6000. Pendant la journée, un technicien farceur est allé récupérer un morceau d’éponge en cuisine puis a collé des petits bouts de l’éponge sur une roche hydrothermale récoltée la veille, avec de la glue, avant de positionner le tout dans une boîte de prélèvement. Au retour de la plongée du jour, nous lui avons confié la boîte de prélèvement comme si elle faisait partie des échantillons récoltés. Il est resté pendant 1 heure à disséquer consciencieusement les bouts d’éponges sous une hotte bruyante dans la chambre à 4°C. Nous lui avons alors soutenu qu’il s’agissait d’individus femelles puis nous lui avons présenté l’individu mâle, l’éponge de cuisine entière. Heureusement qu’il avait de l’humour, il a bien ri !

Quel est ton plus beau souvenir de boulot ?

Lorsque je suis arrivée à Ifremer, j’avais un rêve devenu depuis réalité à plusieurs reprises : plonger dans le sous-marin habité Nautile pour aller au plus près des sources hydrothermales ! Lors de ma 1ère plongée, qui était dans un sous-marin japonais, le Shinkai 6000, je devais découvrir un nouveau site hydrothermal actif à 1700m de profondeur. Hélas, la trajectoire définie n’était pas la bonne et c’est le lendemain qu’a été découvert le nouveau site tant attendu. J’étais un brin frustrée. Mais depuis, c’est toujours la même magie qui opère, de voir cette faune luxuriante et ces fumeurs qui crachent du fluide à 400°C de ses propres yeux, à travers un petit hublot, avec 3600m de colonne d’eau au-dessus de la tête !

 

Quels sont tes centres d’intérêt ?

La lecture de bons polars et les balades en bord de mer avec mon toutou.

As-tu une devise ?

« Ne rien lâcher pour toujours aller jusqu’au bout. » Valérie Cueff-Gauchard

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Franck Rosazza / Ifremer

Léa Grenet / Ifremer

Valérie Cueff-Gauchard / Ifremer

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Valérie Cueff-Gauchard / Ifremer

 

Journée portes ouvertes UBO 2022

L’IUEM participe à la journée portes ouvertes de L’UBO le samedi 5 mars 2022 de 9h à 17h.
Cet événement est l’occasion de découvrir les différentes formations de masters enseignées à l’Institut.

Les scientifiques qui seront présents sur un stand IUEM à l’UFR Sciences répondront aux questions des futurs étudiants potentiels sur les formations suivantes :

L’Institut n’aura pas de stand à  l’UFR Droit ni Lettres mais les intervenants des stands de licence pourront répondre aux interrogations sur les :

Les visiteurs pourront échanger sur les débouchés, les spécificités de chaque parcours, les unités de formation… avec les enseignants-chercheurs, ingénieurs, doctorants, étudiants présents.

Les intervenants se relaieront sur des créneaux de 2 heures pour répondre aux questions posées ainsi que pour partager leur passion pour le monde de la recherche marine.

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Cécile Nassalang / CNRS

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Cécile Nassalang / CNRS

Ayoub Barghaze / UBO

 

 

One Ocean Summit University

La ville de Brest a été choisie pour recevoir, du 9 au 11 février 2022, un sommet international dédié à la protection de l’océan : One Ocean Summit. Cet évènement, organisé dans le cadre de la présidence française de l’Union Européenne, sera l’occasion de forums et de travaux d’ateliers d’experts mondiaux du domaine et se clôturera par une rencontre de responsables politiques de haut rang. Les ateliers sont invités à produire des appels à l’action et le sommet prendra des engagements en vue de renforcer la gouvernance internationale de l’océan.

Sur demande d’Olivier Poivre d’Arvor, ambassadeur des pôles et des enjeux maritimes en charge de l’organisation du sommet, l’Université de Bretagne Occidentale (UBO) prend l’initiative de mobiliser ses réseaux de coopération pour une contribution des jeunes chercheurs au One Ocean Summit.  Cette initiative est inscrite dans le programme officiel du sommet sous le nom de One Ocean Summit University. Elle s’articule autour de trois temps fort :

  • en amont, un vivier de jeunes chercheurs internationaux en sciences de la mer sera constitué et consulté sur les enjeux maritimes abordés au One Ocean Summit ;
  • les synthèses de ces travaux et des préconisations pourront être portées lors de l’événement de Brest ; puis en aval,
  • ce vivier de jeunes pourra poursuivre la dynamique comme groupe de réflexion.

Pour ce faire, un travail de compilation des différents contacts à la faveur de réseaux et projets en cours a déjà débuté. Début janvier, à la suite de sa constitution, ce groupe, sorte de convention de jeunes chercheurs internationaux (doctorants, post-doctorants), sera animé par l’équipe projet.

L’objectif est ici, par une démarche participative, de fédérer les expertises et dynamiques en présence afin de proposer un regard commun sur les enjeux de la recherche et de la formation à la recherche dans le contexte de la Décennie des Nations Unies pour les sciences océaniques au service du développement durable. Elle vise à produire des recommandations et à un appel à l’action (call for action).

Ces recommandations  seront  présentées dans les ateliers thématiques du One Ocean Summit par un panel d’ambassadeurs de ce groupe consultatif des jeunes chercheurs.

Sur la base de cette dynamique, le groupe des jeunes chercheurs pourrait poursuivre ce travail et prendre part à différentes initiatives et rendez-vous internationaux comme la Conférence Océan des Nations Unies qui se tiendra à Lisbonne du 27 juin au 1er juillet 2022.

 

Pour participer à l’aventure de l’Université du One Ocean Summit

  1. Consultez les thèmes des ateliers du One Ocean Summit et sélectionnez celui auquel vous souhaitez contribuer,
  2. Contactez l’équipe du projet et soyez prêt à participer,
  3. Rejoignez un groupe de jeunes chercheurs chez vous ou avec votre réseau international pour produire votre contribution au One Ocean Summit.

 

Équipe organisatrice

  • Yves-Marie Paulet, membre de l’European Marine Board, Vice-président mer de l’Université de Bretagne Occidentale (UBO), France
  • Denis Bailly, coordinateur de l’initiative Ocean University, Institut Universitaire Européen de la Mer (IUEM), Université de Bretagne Occidentale (UBO), France
  • Romain Le Moal, chargé de projet One Ocean Summit University

Avec le soutien de

ISblue au Salon étudiant des masters 2020 à Paris

Samedi 25 Janvier 2020, la 16ème édition du salon des masters et mastères spécialisés (SAMS) organisé par Le Groupe Le Monde (Le Monde, L’Obs, Télérama, Courrier International), a vu défiler pas moins de 6000 étudiants souhaitant poursuivre leurs études après la licence ou compléter leur formation avec un cursus spécialisé.

ISblue (Interdisciplinary School for the blue planet) était présente afin d’apporter un éclairage sur les différentes disciplines et divers parcours relatifs aux sciences et technologies de la mer et du littoral qu’elle dispense dans les écoles d’ingénieurs (ENSTA Bretagne, ENIB, IMT Atlantique), à l’Ecole navale, et à l’IUEM avec le Master Sciences de la Mer et du Littoral (SML).

Les enseignants-chercheurs Guillaume Roullet, Claire Hellio, Jean-François Maguer ainsi qu’Hugo Guillou, étudiant en Master SML mention Physique Marine parcours Hydrodynamique navale, et Aurélie Mercier, étudiante en Master SML mention Chimie et Sciences du vivant (et membre de l’Association étudiante de l’IUEM “Sea Ti Zen“), ont répondu sans relâche à toutes les questions des visiteurs : recrutement, sélection, cours, programme, stage, vie étudiante, débouchés..

 

L’équipe ISblue a pris part à cette journée aux côtés d’une centaine d’établissements : grandes écoles de commerce et d’ingénieurs, instituts, universités… Plus de 3 000 programmes, toutes spécialités confondues, étaient présentés sur les stands par les différents organismes participants. Des conférences thématiques animées par des journalistes du Monde et un « espace coaching » avec des coachs disponibles sans rendez-vous proposaient également un soutien à l’orientation des étudiants.

Une édition 2020 emprunte d’échanges, de dialogues animés et de belles images présentant les visions, les établissements et la région Bretagne qui aura éveillé un intérêt, si ce n’est une vocation, pour l’océan et son rôle vital pour notre planète dans un contexte de changement climatique.

Crédit photos

Fanny Place / UBO

Conférence sur les risques côtiers à Rabat

Cette conférence s’est tenue les 23 et 24 avril 2019 à l’Université Mohammed V de Rabat dans le cadre du projet Erasmus+ (Capacity Building) ScolaMAR. Elle a impliqué près de 80 chercheurs, étudiants, experts et parties prenantes de la gestion intégrée des zones côtières. Le principal objectif était de donner un aperçu des divers facteurs de risques côtiers au Maroc et en Europe sans oublier leurs impacts sur la stabilité et la gestion durable des côtes. Catherine Meur Férec et Alain Hénaff du laboratoire LETG ont dans cette perspective fait une communication.

Suite à cela, les partenaires se sont réunis le 25 avril dans le cadre du comité de pilotage annuel du projet. ScolaMAR prenant fin en octobre 2019, cette réunion de consortium a permis de faire le bilan des activités menées au cours des trois dernières années et de discuter sur la suite qui sera donnée dans l’optique de la future mise en place du programme de Master au sein des 4 universités marocaines (Tanger, Rabat, El Jadida, Kénitra).

Le programme de formation, basé sur l’expérience de développement de formation en sciences de la mer des universités européennes partenaires (Brest, Cadix, Algarve, Venise), a été soumis pour accréditation en mars 2019 auprès du Ministère marocain de l’Education Nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Selon le retour du Ministère, le master intitulé « Sciences du Littoral : Approche Pluridisciplinaire » pourrait débuter à la rentrée 2020.

Crédit photo : Justine Roddier / UBO

Pour plus de renseignement sur le projet et l’organisation de cette formation visitez  ScolaMAR.

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Sciences de la Terre, des Planètes et de l’Environnement

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Master SML

Sciences de la Terre, des Planètes et de l’Environnement

Nous proposons une offre de formation aux métiers des géosciences et de l’environnement côtiers et marins en nous appuyant sur l’unité de recherche du Laboratoire Geo-Ocean basé à Plouzané (IUEM, UBO) et à Vannes (UBS), en collaboration étroite avec l’institut Géosciences Marines d’Ifremer.

Les compétences de ces deux unités s’étendent sur un large spectre de thématiques :  de la dynamique des littoraux à l’évolution du manteau terrestre en passant par la dynamique des rifts, des marges, des dorsales et de l’enregistrement sédimentaire, paléo-climatique et paléo-environnemental.  Les travaux proposent une approche pluridisciplinaire et multiproxy reposant sur les pôles instrumentaux : pôle spectrométrie océan-pôle instrumental en géophysique-pôle en sédimentologie/micropaléontologie/palynologie.

Les points forts de ce Master sont les nombreux terrains à terre et en mer réalisés tout le long de la formation, l’intervention de chercheurs de haut niveau des deux instituts, la possibilité de stages de recherche, entre autres possibilités, au sein de l’IUEM, d’Ifremer ou du SHOM.

Parcours

Géosciences Océan (GO)

Le Parcours Géosciences Océan est fortement adossé au laboratoire éponyme. Les diplômés de ce master pourront élaborer et concevoir des projets de recherche, assurer des activités d’expertise et de conseil au sein de structures publiques ou privées dans les domaines des géosciences et, en particulier, des géosciences marines. Ce master permet notamment la poursuite en doctorat dans le domaine des Géosciences marines et en particulier sur les thèmes suivants : marges, dorsales, rifts, ressources minérales, sédimentologie, paléo-environnements, paléo-climats, géochimie marine.

Téléchargez la présentation complète de la formation et de son contexte scientifique et local.

Retour du stage de terrain dans les Alpes

Retour de stage de terrain en Angleterre

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Ingénierie et Gestion des Ressources Côtières et Littorales (IGRECL)

Le parcours IGRECL a clairement pour vocation une insertion professionnelle non académique dans la gestion des ressources côtières et littorales auprès des PME du secteur d’activité, des collectivités territoriales, des grands groupes dont les travaux affectent ces environnements. Les étudiants auront à la fin de ce parcours des compétences pluridisciplinaires en gestion et exploitation des ressources minérales et biologiques avec appréhension des notions de risque et vulnérabilité. Ces compétences leur permettront de s’adapter, d’anticiper et de répondre aux stratégies d’aménagement des espaces côtiers en tenant compte du cadre juridique et socio-économique européen.

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Logiciels pédagogiques

Les formations STU (Sciences de la Terre et de l’Univers) de l’UBO bénéficient depuis décembre 2018 d’un accès gratuit à la suite logicielle MOVE de la Société PETROLEUM EXPERTS, dans le cadre d’une convention signée entre le Département des Sciences de la Terre de l’UBO et cette Société. L’équivalent commercial de cette donation de suite logicielle MOVE se monte à 1.308.000,00 £.

Cette suite logicielle est la « boîte à outils » d’analyse et de modélisation en géologie structurale qui est la plus complète disponible. Elle fournit un environnement numérique complet pour rendre compte en 3 dimensions de propriétés et caractéristiques géologiques en réduisant les risques et les incertitudes des modèles géologiques. C’est une plateforme qui sert à l’intégration et l’interprétation de données géophysiques, la construction de coupes, la construction de modèles 3D, la restauration et la validation cinématiques, la modélisation géo-mécanique, la modélisation de fractures, la modélisation du rôle des failles et l’analyse des relations entre failles et contraintes tectoniques.

Le département des Sciences de la Terre et l’Université de Brest (UBO) remercient sincèrement la société ” PETROLEUM EXPERTS Limited” pour la donation qu’elle lui accorde pour l’usage gratuit de la suite de logiciels MOVE. Cet outil va nous permettre de former nos étudiants en Licence 3 (à l’UFR Sciences et Techniques du Bouguen) et en Master 1 et 2 (à l’IUEM, Institut Universitaire Européen de la Mer) à l’utilisation en salle de ce logiciel professionnel couramment utilisé dans les bureaux d’études, les cabinets de consultants et les grandes entreprises des Géosciences travaillant sur les réservoirs géologiques. Pour les doctorants, les bases de données dont ils disposent (le plus souvent, des données bathymétriques et des profils denses de sismique-réflexion) peuvent ainsi être significativement valorisées selon les objectifs de leurs travaux de thèse.

Pour en savoir plus :

Les formations en Sciences de la Terre de l’UBO bénéficient de la mise à disposition gratuite du Logiciel Kingdom Suite distribué par la société IHS Markit à travers le programme University Grant Program renouvelé chaque année depuis 2008.

Le logiciel Kingdom Suite est une référence mondiale incontournable pour l’interprétation sismique 2D et 3D et permet l’intégration de données géophysiques et géologiques offrant des utilisations très variées en recherches fondamentales et appliquées. Le logiciel est utilisé en salle à des fins d’enseignement en Master pour les parcours Géosciences Océan et Ingénierie et Gestion des Ressources Côtières et Littorales. Il est également utilisé lors des campagnes d’enseignement à la mer et pour les projets menés individuellement par les doctorants du Laboratoire Géosciences Océan.

Le département des Sciences de la Terre et l’Université de Brest (UBO) remercient sincèrement la société  IHS Markit pour l’agrément qu’elle leur accorde pour l’usage gratuit du logiciel Kingdom Suite.

Système d’Information Géographique Libre et Open Source

En savoir plus

Langage de programmation de calcul technique, logiciel payant, licence acquise au Laboratoire.

En savoir plus

Langage de programmation de calcul technique, logiciel libre de calcul numérique comparable à MATLAB.

En savoir plus

Les formations en Sciences de la Terre de l’UBO bénéficient depuis 2022 de la mise à disposition gratuite de la « Q-suite » distribué par la société QPS. Cette suite comporte plusieurs logiciels principalement dédiés à la bathymétrie :

-Le logiciel Qinsy. Il est dédié à la préparation des missions ou surveys océanographiques, à l’acquisition hydrographique et traitement en temps réel à bord des navires pour la bathymétrie multifaisceaux, mais aussi l’imagerie sonar latéral, la magnétométrie.

-Le logiciel Quimera. Il est dédié au traitement et à l’interprétation des données suite au levés de bathymétrie multifaisceaux. Il rend le traitement des données hydrographiques de manière didactique et aussi simple et intuitif que possible. Qimera est à ce jour l’application la plus puissante pour toutes les applications de traitement bathymétriques : intégration des dernières technologies et design pour optimiser la facilité d’utilisation. Ce logiciel est compatible des principaux formats de données sonar, et a révolutionné la gestion des données par la création de flux de données dynamiques.

-Le logiciel Fledermaus. Pour l’analyse geo-spatial 4D avec integration video et edition film. Un standard pour la présentation et communication s’intégrant dans le workflow QPS et permettant l’intégration des données multifaisceaux, réflectivité, colonne d’eau et autres données SIG sur une même vue.

La suite QPS est utilisé en salle à des fins d’enseignement en Master pour les parcours Géosciences Océan et Ingénierie et Gestion des Ressources Côtières et Littorales. Il est également utilisé lors des campagnes d’enseignement à la mer et pour les projets menés individuellement par les doctorants du Laboratoire Géosciences Océan. Il est aussi utilisé pour la formation de Licence hydrographique.

Le département des Sciences de la Terre et l’Université de Brest (UBO) remercient sincèrement la société  QPS  pour l’agrément qu’elle leur accorde pour l’usage gratuit des logiciels.

Pour en savoir plus.

Contacts


Responsable du Master :

Christine AUTHEMAYOU (Envoyer un email)

Parcours GO :

M1 : Aurélie PENAUD (Envoyer un email)

M2 : Christine AUTHEMAYOU (Envoyer un email)

Parcours IGRECL :

Evelyne GOUBERT (Envoyer un email)

Physique

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Master SML

Physique

Ce Master international est co-accrédité par l’IUEM à l’UBO et par l’ENSTA Bretagne. Il vise à donner aux étudiants la connaissance des propriétés physiques et dynamiques du milieu marin et des éléments d’ingénierie qui s’y rapportent (navires en particulier). Il comporte 4 parcours : Physique de l’Océan et du Climat (POC), Géophysique Marine (GM), Hydrodynamique Navale (HN) et Sciences des Données Océaniques (SDO).
Les parcours GM, HN et POC ont un bloc commun en M1 : mécanique des fluides, des solides, mathématiques appliquées, analyse de données, modélisation numérique. Les spécialisations pour chaque parcours sont plus importantes en M2.
Le parcours SDO n’est proposé qu’en M2.
La formation s’appuie sur des stages longs de recherche académique ou industrielle en fin de M2.

Ce Master permet l’accès à la formation doctorale dans le cadre de l’École Doctorale des Sciences de la Mer et du Littoral, ainsi qu’aux emplois d’ingénieur d’étude dans de nombreuses entreprises régionales, nationales ou étrangères. Le contexte Brestois est en effet particulièrement développé pour les sciences et technologies marines.

Le nouveau parcours Sciences des Données Océaniques a ouvert à la rentrée 2020. Suivre ce parcours puis faire un an de Géomatique Marine à l’ENSTA Bretagne (sous réserve d’admission sur dossier) ouvrira au diplôme de cette grande École d’Ingénieurs.

The Marine Physics/Marine Sciences program in cooperation with graduate engineering schools in Brest, is international and taught essentially in English (see the site for more information). 

The program focuses on the physics of the sea (POC specialty), of the Earth particularly under the sea (GM specialty) and of ships and naval structures (HN specialty). In M1 the common scientific basics (Fluid and solid mechanics, applied maths, numerical analysis) are taught. In M2, the specific knowledge of each specialty is taught. Projects and internships are essential in the program. Relation with research centres and with private companies are central to research training.

Attending and validating this specialty and then validating the (one-year) specialty Marine Geomatics (provided the results of the M2 are good) would lead to obtaining the Engineering Degree of ENSTA Bretagne.

More precise information in English about our program and how to apply can be obtained by contacting Master.Marphys@univ-brest.fr

Parcours

Physique de l’Océan et Climat

Le parcours s’appuie sur le Laboratoire d’Océanographie Physique et Spatiale (LOPS), le Laboratoire des Sciences de l’Environnement Marin (LEMAR), toutes deux des laboratoires de recherche de l’IUEM, le département Hydrographie, Océanographie et Météorologie du SHOM, le laboratoire d’Hydrodynamique côtière du CEREMA. Débouchés : recherche, enseignement-recherche, bureaux d’études (impact de la circulation océanique, ou des événements extrêmes sur les structures en mer, sur l’érosion du littoral, sur l’écologie marine, sur l’exploitation des ressources marines, ou l’évolution des nappes de pollution).

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Géophysique Marine

Le parcours s’appuie sur le Laboratoire Geo-Ocean (GO) qui est une unité de recherche, et le département Géosciences Marines d’lfremer.

Débouchés : recherche, enseignement-recherche, recherche et développement dans les domaines des énergies marines, du offshore/pétrolier, des ressources minérales marines, et dans des bureaux d’études (transports sédimentaires, risques côtiers…).

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Hydrodynamique Navale

Le parcours s’appuie sur l’Institut de Recherche Dupuy de Lôme (IRDL, FRE, Brest) et l’Institut de Recherche de l’École Navale (IRENAV).

Débouchés : recherche, enseignement-recherche, bureaux d’études et centres d’essais, énergies marines, architecture et construction navale.

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Ocean data science

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Contacts


Responsable du Master

Xavier CARTON
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Responsable du M1

Olivier Arzel
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Responsables de M2

  • Parcours Géophysique marine

Cécile GRIGNÉ
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  • Parcours Hydrodynamique navale

Pierre-Michel GUILCHER
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  • Parcours Physique de l’océan et climat

Xavier CARTON
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Chimie de l’Environnement Marin

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Master SML

Chimie de l’Environnement Marin

Au sein de l’IUEM, ce Master est adossé au Laboratoire des sciences de l’environnement marin (LEMAR/UBO-CNRS-IRD-Ifremer) et au Laboratoire Geo-Ocean (GO/UBO-CNRS-Ifremer-UBS). Les deux laboratoires réunis comptent de nombreux enseignants-chercheurs et chercheurs susceptibles de participer aux enseignements et/ou de proposer des stages aux étudiants.

Ce master du domaine Sciences de la Mer et du Littoral prépare de jeunes scientifiques au doctorat avec une forte coloration en chimie marine et analytique. Il permet également aux diplômés de s’insérer dans un cursus d’écoles d’ingénieurs ou d’intégrer directement le milieu professionnel.

Les métiers visés suite à la formation sont divers : enseignant-chercheur de l’enseignement supérieur, chercheur dans les organismes de recherche, cadre supérieur en environnement, expert pour les services de l’état, chargé de mission auprès des collectivités territoriales…
Les environnements professionnels qui accueillent ces nouveaux diplômés sont les universités, les centres de recherche, les bureaux d’étude en chimie et/ou en environnement, les laboratoires d’analyses chimiques et de contrôle de qualité et les organismes de la fonction publique.

N’hésitez pas à nous contacter avant de faire votre choix de formation si le master chimie et sciences du vivant vous intéresse.

Parcours

Chimie de l’Environnement Marin

À la suite de ce parcours, le diplômé :

  • dispose d’une solide formation en chimie théorique et appliquée et maîtrise les concepts fondamentaux de la chimie marine.
  • possède des connaissances spécifiques en biologie marine, en océanographie physique et en géosciences marines qui lui permettent d’aborder la pluralité des mécanismes qui gouvernent le fonctionnement des écosystèmes marins.
  • a la capacité à utiliser et interpréter les résultats issus de techniques d’analyse modernes (Spectrométrie de masse, ICP-MS, CPG, HPLC, spectroscopie, techniques électrochimiques).
  • est capable d’avoir une démarche scientifique autonome visant à répondre à une problématique environnementale (état d’un écosystème, prévision de son évolution) en mettant en œuvre les techniques d’échantillonnage sur le terrain, les protocoles expérimentaux en laboratoire et en interprétant les données obtenues.
  • a une capacité de synthèse des documents scientifiques écrits et oraux.

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Contacts


Droit des Espaces et des Activités Maritimes

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Master SML

Droit des Espaces et des Activités Maritimes

Les enseignements dispensés dans le cadre du Master s’appuient sur l’activité de recherche du laboratoire AMURE dont les trois axes de recherche sont :

  • Économie bleue
  • Appropriation et responsabilité
  • Socio-écosystème et territoire

Le Master vise à former des juristes de haut niveau spécialisés en droit de la mer, du littoral et des activités maritimes.

La seconde année de la formation est ouverte à l’alternance par contrat de professionnalisation ou contrat d’apprentissage. Les enseignements ont principalement lieu sur le site de l’UFR Droit et sciences économiques 12 rue de Kergoat à Brest.

Les débouchés professionnels à l’issue de cette formation sont nombreux. Les diplômé.e.s peuvent exercer dans le domaine de l’assurance, de la banque, des secteurs d’activité couverts par l’ensemble des opérateurs (entreprises privées ou publiques) du secteur maritime ; dans le domaine du conseil, de l’étude et de l’expertise juridiques ; dans les organismes professionnels et syndicaux, les organismes de prestations sociales maritimes, les coopératives maritimes ; dans l’administration territoriale ou nationale interne et l’administration communautaire.

Ils peuvent exercer les emplois de juriste d’entreprise ou de conseil (consultant, expertise, avocat après réussite des concours) ; de juriste dans les ports, dans les domaines des énergies renouvelables en mer, de la sécurité maritime et portuaire, des travaux maritimes, des constructeurs navals ; de gestionnaire de projet ou de contrat (gestion des risques en entreprise, gestionnaire de contrat en assurance) ; de mandataire ou courtier (assurance) ; de chargé de mission ou de direction dans des instances représentatives ou publiques (par ex : comité régional des pêches, parcs naturels marins…) ; de juriste d’administration (après concours) dans la fonction publique d’État ou territoriale ou dans les institutions européennes.

Parcours

DEAM – Droit des Espaces et des Activités Maritimes

Le Master DEAM est l’un des huit Masters du domaine « Sciences de la mer et du littoral » de l’IUEM.

L’objectif du parcours est de former des professionnels qui peuvent se charger ou être chargés de détecter, analyser et traiter les problèmes juridiques relatifs aux divers domaines des activités maritimes et du droit de la mer. Ils sont en mesure d’établir les pièces des dossiers litigieux, en assurant le suivi des affaires contentieuses, en définissant, concevant et rédigeant les documents, actes juridiques et réglementations utiles.

Créé il y a plus de 40 ans, ce Master est aujourd’hui reconnu comme une formation d’excellence dans le domaine du droit des espaces et des activités maritimes. La formation s’appuie sur un réseau important d’alumni qui met son expérience au service des étudiant.e.s (conférences, formation). Ce réseau facilite également les recherches de stage, d’alternance et l’insertion professionnelle des jeunes diplômé.e.s.

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Contacts


Gestion de l’environnement

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Master SML

Gestion de l’environnement

EGEL (Expertise et Gestion de l’Environnement Littoral) est l’un des huit Masters du domaine SML (Sciences de la mer et du littoral) de l’IUEM. Créée en 2000, elle est, historiquement, l’une des premières formations spécialisées sur la gestion de l’environnement littoral et marin en France avec un réseau de plus de 500 alumni formés sur les 20 dernières années.

Reconnu à l’échelle nationale, EGEL vise à préparer les étudiants aux métiers de l’aménagement, de l’ingénierie environnementale et de la recherche dans le domaine de la gestion des espaces littoraux et maritimes. Master pluridisciplinaire par excellence (géographie, aménagement, biologie, écologie, droit, économie, chimie…), il propose une approche croisée de la connaissance, de la compréhension et de la gestion les enjeux littoraux et marins dans une logique de transition et de soutenabilité des territoires.

Parcours

EGEL – Expertise et gestion de l’environnement littoral

Notre formation s’articule sur 2 années.

La première année (M1) est considérée comme une remise à niveau disciplinaire. Elle est ainsi plutôt centrée sur l’acquisition de connaissances et de méthodologies. Mais cela n’empêche pas que les étudiants soient déjà régulièrement sur le terrain (collecte de données, rencontres avec les acteurs, sorties bateau…).

La deuxième année (M2) est plus professionnalisante, car elle repose sur de nombreuses applications de connaissances et de mises en situation professionnelle : ateliers sur plusieurs mois, organisation de tables rondes, sorties de terrain, classes transplantées dans les territoires à la rencontre des besoins des acteurs…

La formation permet de valider un parcours “recherche” ou “professionnalisant” mais le master est globalement appliqué (surtout en M2). À l’issue de la formation, la plupart des étudiants entrent sur le marché du travail. Il faut toutefois noter que chaque année, quelques étudiant.e.s décident de prolonger leur parcours par une thèse de doctorat dans un des laboratoires de recherche de l’Institut.

Les débouchés professionnels d’EGEL sont très variés : Protection et gestion du patrimoine littoral et marin ; pêche-aquaculture ; étude, gestion, restauration faune/flore/habitats ; gestion aires protégées (AMP, réserves…) ; cartographie, géomatique, SIG, bdd ; médiation, sensibilisation, animation scientifique ; risques littoraux (étude, prévention) ; gestion, aménagement du littoral ; animation, coordination politiques publiques mer et littoral ; étude, gestion, surveillance de l’eau ; énergie (notamment durables) ; tourisme et loisirs sportifs, pollutions et déchets, etc. (liste non exhaustive).

Voir la fiche formation détaillée sur le catalogue officiel de l’UBO

Foire aux questions du master EGEL

Vous avez des questions spécifiques sur votre profil, votre projet, les démarches administratives, les critères de sélection pour accéder au master EGEL ? Les réponses que vous attendez sont sans doute dans cette rubrique ! Merci de la consulter avant de solliciter l’équipe pédagogique.

Contacts


Masters SML

Masters SML

Sciences de la Mer et du Littoral

Actualités


Projets Interdisciplinaires Mutualisés (PIM) des Masters organisés par ISblue

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La 3ème édition des PIM (Projets Interdisciplinaires Mutualisés) organisés par ISblue a eu lieu du 8 au 12 janvier 2024. Treize projets différents étaient proposés à 200 étudiant·es de l’UBO, de l’UBS et de l’ENSTA Bretagne. Avec…

14 étudiants en Master 2 de Biologie au lycée maritime du Guilvinec

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Dans le cadre de l’UE « médiation scientifique » des Masters en sciences de la mer et du littoral de l'IUEM, quatorze étudiants de M2 Biologie sont allés au lycée maritime du Guilvinec le mercredi 20 décembre 2023. L’objectif de…

International Master Class Earth-Ocean Links (EOL) en Afrique du Sud

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Avec le soutien de l'UNESCO-IGCP, l'Ambassade de France au Ghana, ISBlue, le CNRS, l'Ifremer et AEON (Africa Earth Observatory Network - Earth Stewardship Research Institute ESSRI) attaché à Nelson Mandela University, la cinquième session…
Sébastien Hervé

2ème édition d’ISblue COP : une réussite pour la simulation d’une Conférence pour le climat

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Dans le cadre de la COP27 (Conférence des Parties n°27) et de l’AAP Formation ISblue, Quentin Millière, Riwalenn Ruault, Pauline Letortu et Adélie Pomade, ont organisé le 15 novembre une simulation de négociations et de conférence de…

Stage de terrain de géologie d’étudiants en M2 de Géosciences

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Ce stage de géologie sédimentaire s'est déroulé dans le Sud de l’Angleterre - « Wessex-Field » du 3 au 10 octobre 2022. Il a été cofinancé par ISblue Formation et le Master SML Géosciences Océan. Explicatif sur la spécialité…

Sortie Biodiversité en rade avec la participation des étudiants IMBRESea

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Lors du weekend des 15 et 16 octobre 2022, des plongées d'inventaires de poissons de la rade ont été mises en place dans le cadre du plan biodiversité et atlas de Brest métropole. Mise en place du projet APECS/SUAPS Ce projet trouve…

19ème rentrée des Masters des sciences de la mer et du littoral (SML)

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Jeudi 1er septembre, les étudiants de 1ère année de master admis dans les Masters SML seront accueillis à l’IUEM par le directeur de l’Institut, Frédéric Jean, qui abordera les missions de l’IUEM, son cadre ainsi que son histoire…

Camp de terrain des étudiants en biologie/Écosystèmes marins

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Les étudiants du master de Sciences biologiques marines (SBM), spécialité Écosystèmes Marins, se sont rendus du 19 au 24 avril à Brignogan-Plages pour participer à un camp de terrain dans le cadre de l’Unité d'enseignement Observatoire,…

Un domaine de formation unique en France

Le domaine Sciences de la Mer et du Littoral  est unique en France. Il regroupe 8 Masters qui abordent, chacune selon ses champs disciplinaires, différents aspects des Sciences de la Mer et du Littoral : Biotechnologies, Biologie, Gestion de l’environnement, Économie Appliquée, Droit des Espaces et des Activités Maritimes, Sciences de la Terre, des Planètes et de l’Environnement, Chimie de l’environnement marin, Physique.

Ce domaine de formation est crucial pour la cohérence et la visibilité d’une offre thématique pluridisciplinaire exceptionnelle avec de forts enjeux économiques, sociétaux et une étroite synergie enseignement – recherche – entreprise.

Les masters adossés sur les laboratoires de recherche de l’IUEM et de ses partenaires (CNRS, IRD, Ifremer, SHOM, Cedre, CEREMA, ENSTA, IMT Atlantique, ENIB, École Navale) offrent les meilleures conditions pédagogiques pour former de futurs professionnels experts dans leurs disciplines et capables d’établir des collaborations entre sciences de la nature (écologues, géochimistes, biologistes et géologues) et de la société (géographes, juristes, économistes). Les programmes sont pleinement intégrés à l’École universitaire de recherche ISblue.

Découvrez nos 8 masters

Internationalisation


Les masters SML privilégient l’interdisciplinarité autour des Sciences de la Mer mais aussi l’internationalisation par l’accueil d’étudiants internationaux, par du soutien à la mobilité entrante et sortante et des actions spécifiques.

Insertion Professionnelle


Les masters SML mettent en œuvre des actions pour aider l’insertion professionnelle de leurs étudiants.

Formation Continue


Les masters SML offrent le cadre de la formation continue « mer » de l’UBO à l’IUEM et proposent un catalogue complet.

Informations pratiques

Comment postuler ?


Les candidatures en première année passent par le site Trouver mon Master. Le calendrier est national.

Les candidatures en deuxième année se font par le site eCandidat. Les calendriers dépendent de chaque parcours mais débutent habituellement au printemps, vers le mois d’avril.
Les résultats d’admission sont publiés au plus tard mi-juillet.

Retrait du diplôme


Vous avez été étudiant(e) à l’IUEM, vous êtes diplômé(e) mais n’avez jamais retiré votre diplôme ? Pas de problème, il suffit de remplir ce formulaire et vous pourrez le retirer à votre convenance.

Transfert de dossier


Pour demander le transfert de votre dossier vers une autre université, suivez ce lien.

Votre demande sera traitée dans les meilleurs délais possibles.

Conventions de stage


Vous avez trouvé un stage et vous vous demandez comment procéder ? Suivez ce lien.

L’IUEM ouvre ses portes le samedi 17 février 2024

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L’IUEM vous accueille lors de sa Journée portes ouvertes le Samedi 17 février 2024 de 9h à 17h.

Nous aurons le plaisir de vous recevoir dans nos locaux afin d’y découvrir les enseignements dispensés à nos étudiants au sein des 8 Masters en sciences de la mer et du littoral :

Des expérimentations seront mises en avant par des scientifiques de nos unités de recherche qui vous feront partager leur passion pour le monde de la recherche marine.

Les enseignants-chercheurs, chercheurs, étudiants, doctorants, ingénieurs et techniciens se feront un plaisir de répondre à vos questions. Vous pourrez échanger avec eux sur les débouchés, les spécificités de chaque parcours, les unités de formation…

Seront également proposées des projections de vidéos.

Nous vous attendons nombreux !

crédit photo

Sébastien Hervé / UBO

Contact

Cécile Nassalang / CNRS

 

 

 

Journée Portes Ouvertes (JPO) UBO à Brest le samedi 4 mars 2023

L’IUEM tiendra un stand le samedi 4 mars 2023 de 9h à 17h à la Faculté des Sciences et Techniques de l’UBO avenue Le Gorgeu à Brest. Des enseignants-chercheurs, chercheurs, étudiants, doctorants, ingénieurs et techniciens de 5 des 8 Masters en sciences de la mer et du littoral partageront avec les visiteurs leur passion pour le monde de la recherche marine, notamment par la découverte de nos formations :

À la Faculté des lettres et sciences humaines (Expertise et Gestion de l’Environnement Littoral (EGEL)), des ancien.ne.s étudiant.e.s, tiendront également un stand. Concernant la Faculté de droit (Masters Droit des activités maritimes et Économie appliquée), des enseignants-chercheurs et responsables de ces 3 Masters seront présents et les visiteurs pourront les solliciter.

Nous vous attendons nombreux !

Crédit photo

Cécile Nassalang / CNRS

Contact

Cécile Nassalang / CNRS

 

La COP27 à Brest, du climat dans le débat !

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Du 7 au 20 novembre 2022, l’UBO à travers l’IUEM et l’initiative Ocean University s’est engagée auprès de Brest métropole pour proposer quinze jours dédiés au partage, au débat et à l’engagement pour le climat, à l’occasion de la COP27 en Égypte.

Vous n’avez pas pu assister aux événements locaux ou suivre la COP27 à Charm el-Cheikh ? Voici quelques vidéos en guise de séance de rattrapage ! 

Liste de lecture

Ces vidéos vous sont proposées par Apolline Jesiolowski, Izia Colineaux et Chaimae Meyad, trois étudiantes qui se sont rendues à la COP27 en Égypte en tant qu’observatrices UBO.

Expérience inédite pour l’Université, ces trois étudiantes se sont rendues sur le site officiel de la COP climat pour rendre plus tangibles les négociations internationales en lien avec l’océan et les faire partager au plus grand nombre. En lien avec leurs enseignements, elles ont également assisté à de nombreuses conférences sur les enjeux environnementaux et climatiques.

Bon visionnage !

De retour à Brest, Apolline a partagé son expérience avec le public de 70.8 aux côtés de Céline Liret, directrice scientifique d’Océanopolis, et de Valentin Roussarie, étudiant en Master 2 E2AME qui a suivi la partie finance pendant toute la durée de la COP.

Trois formats de rencontre ont été également proposés pour échanger avec tous les publics.

L’Agora Glaz, installée simultanément au PN2B, à l’ENSTA Bretagne, à l’IUEM et à l’Université Mohammed V de Rabat, a permis de brosser, sur trois rendez-vous méridiens, un large panorama des négociations sur le climat. En partant des initiatives et problématiques locales, avec l’intervention de Glen Dissaux (élu brestois en charge du Plan Climat) vers l’international et la recherche avec Marie-Clémentine Corvest (doctorante en histoire au CRBC) et Amandine Nicolle (enseignante-chercheure à l’ENSTA) l’idée a été de rapprocher ces espaces de haut niveau politique et les mondes de la recherche et de la formation, pour faire connaître les processus de négociations, les accords en cours et surtout partager des connaissances pour mieux les comprendre et les décrypter.

Les enregistrements sont disponibles sur la chaîne YouTube de l’UBO.

La filiale EMR sur le port de Brest

Une soirée projection-débat du film documentaire “Contre vents et Marées” a réuni une centaine de personnes au cinéma Les Studios. Avec la présence d’une des co-réalisatrices et trois spécialistes des études d’impact environnementales des infrastructures EMR, de nombreuses questions ont été soulevées pendant la deuxième partie de soirée. À l’image des débats publics, les intervenants se sont prêtés à l’exercice, là aussi, de décryptage sur les questions d’impact des installations EMR sur l’environnement, de conflits d’usage, de mix énergétique français… 

Aurélie Jolivet, Damien Saffroy, Adeline Bas et Bénédicte Payot répondant aux questions de Joëlle Richard et du public des Studios.

Un sujet, un intervenant, un objet

Dans la continuité des actions de sensibilisation, quatre mini-conférences ont été proposées à 70.8, la galerie de l’océan. 130 personnes se sont rendues aux Ateliers des Capucins le dernier dimanche de la COP pour mettre du concret sur les grands enjeux de l’océan de demain et découvrir les objets apportés par les quatre intervenants ! 

Crédit photos

Charline Guillou / UBO

Contacts

Joëlle Richard / UBO

Charline Guillou / UBO

Ce travail a été soutenu par le projet ISblue “Interdisciplinary graduate school for the blue planet” co-financé par une aide de l’État gérée par l’Agence Nationale de la Recherche au titre du programme « Investissements d’avenir » intégré à France 2030, portant la référence ANR-17-EURE-0015.

Valérie Cueff-Gauchard, Ingénieure microbiologiste et étudiante en thèse au BEEP

Que faisais-tu avant de venir à l’IUEM ?

Avant d’arriver au BEEP, j’ai découvert le domaine de la mer par un stage de fin d’études de DUT en biologie appliquée à l’UBO, réalisé à la Station biologique de Roscoff (SBR) dans le laboratoire de microbiologie marine qui allait rapidement migrer à l’IUEM en 1999. Ce laboratoire a ensuite fusionné avec le laboratoire Ifremer de « Microbiologie et Biotechnologie des Extrémophiles » (LMBE) pour devenir le LMEE qui s’est agrandit cette année pour devenir l’unité BEEP. Lors de mon stage, j’ai caractérisé une nouvelle souche bactérienne extrêmophile inconnue, isolée au niveau des sources hydrothermales. Cela consistait à établir sa carte d’identité : gamme de température de croissance, de pH, de salinité, déterminer les substrats avec lesquels elle se nourrit… 4 mois après l’obtention de mon diplôme, l’Ifremer recherchait un technicien en CDD sachant cultiver ce type de bactéries exotiques. J’ai donc été recrutée en CDD à l’Ifremer, en novembre 1998, grâce à mes compétences acquises lors de mon stage. Et après 2 ans de CDD, un poste de technicien de laboratoire a été créé sur lequel j’ai candidaté et j’ai été recrutée en CDI en 2000.

En 2006, j’ai repris mes études suite à une VAE pour faire un Master en microbiologie fondamentale et appliquée à l’UBO. J’ai été exemptée de stage en M1 vu mon expérience professionnelle et j’ai choisi de changer de domaine pour mon stage de M2. J’ai donc passé 9 mois à la SBR où j’ai participé aux travaux de thèse d’Aurélie Chambouvet sous la direction de Laure Guillou. J’y ai étudié les relations entre un parasite et ses hôtes, des microalgues potentiellement toxiques prélevées dans la baie de Penzé, donc très éloignées des sources hydrothermales. Le monde étant très petit, j’y ai retrouvé mon premier encadrant, Christian Jeanthon. Puis Aurélie a été recrutée au LEMAR avant de repartir récemment à Roscoff.

Pourquoi as-tu choisi l’IUEM ?

Étant du coin, j’ai une attache forte à la Bretagne et à la mer. Mon diplôme me destinait plutôt à être technicienne en laboratoire d’analyses médicales ; la microbiologie m’attirait beaucoup et mon choix de stage m’a donné l’opportunité de découvrir la recherche en milieu marin. Je pensais à l’époque que la recherche était destinée aux chercheurs mais je me suis rendue compte que la recherche avait aussi besoin de techniciens. Néanmoins, je voyais ce milieu comme inaccessible car il y a très peu de postes. Ce sont des opportunités dues au hasard qui m’ont permis d’y faire ma carrière tout en restant près de ma famille ; je me suis trouvée au bon endroit au bon moment.

 

Que fais-tu à l’IUEM ?

Je travaille principalement sur les interactions symbiotiques entre les bactéries et différents modèles d’animaux des grands fonds, en particulier une crevette hydrothermale à grosse tête, Rimicaris exoculata. Cette crevette abrite dans sa tête des communautés bactériennes abondantes et diversifiées, qui lui servent de garde-manger pour simplifier.

Ce qui est intéressant dans mon travail, c’est la variété de fonctions que je peux occuper. En tant qu’ingénieure, je viens en soutien de différents projets de recherche du laboratoire, surtout sur des techniques de biologie moléculaire mais aussi d’imagerie. Je suis amenée à préparer le matériel pour des missions océanographiques hauturières auxquelles je participe régulièrement. Au laboratoire, je mets au point des protocoles, j’analyse les résultats et les mets en forme.

Ayant soif de nouveaux challenges, en parallèle de mon métier d’ingénieur, j’ai commencé une thèse il y a 4 ans qui porte sur le fonctionnement in-situ des communautés bactériennes de ma crevette fétiche. Pour cela, j’ai été amenée à développer un nouvel outil de prélèvement et de fixation in situ des animaux mobiles dans les grandes profondeurs, avec l’appui de techniciens et d’ingénieurs en instrumentation. J’ai également dû plonger dans le monde obscur de la bioinformatique et des lignes de codes qui m’était totalement inconnu jusque-là. Et en ce moment, je me suis attelée à la rédaction de mon 1er article en tant que 1er auteur. Mais à l’issue de ma thèse, c’est en tant qu’ingénieure de recherche et non pas de chercheure que je continuerai ma route. Car plus que la rédaction d’articles et de projets, c’est le développement de nouvelles technologies et méthodologies qui me motive au quotidien.

 

Je consacre aussi beaucoup de temps à la dimension collective du laboratoire : transmettre les bonnes pratiques de laboratoire, les consignes de sécurité, assurer la gestion des appareils et des stocks, former les étudiants, doctorants, post-docs aux techniques et à l’utilisation des appareillages. J’encadre des stagiaires de niveau 3ème jusqu’au Master2. J’ai même organisé des formations techniques collectives sur différentes méthodes, ce qui m’a amené à aller former une équipe en Nouvelle-Calédonie. De plus, j’ai pris en charge la co-animation scientifique du thème transversal du laboratoire « développements méthodologiques et technologiques ».

As-tu des anecdotes professionnelles à nous raconter ?

Lors d’une mission océanographique, un de mes anciens directeurs de laboratoire voulait travailler sur les bactéries associées aux éponges marines. Il avait donc demandé qu’on lui remonte des éponges lors d’une plongée scientifique avec le sous-marin ROV Victor 6000. Pendant la journée, un technicien farceur est allé récupérer un morceau d’éponge en cuisine puis a collé des petits bouts de l’éponge sur une roche hydrothermale récoltée la veille, avec de la glue, avant de positionner le tout dans une boîte de prélèvement. Au retour de la plongée du jour, nous lui avons confié la boîte de prélèvement comme si elle faisait partie des échantillons récoltés. Il est resté pendant 1 heure à disséquer consciencieusement les bouts d’éponges sous une hotte bruyante dans la chambre à 4°C. Nous lui avons alors soutenu qu’il s’agissait d’individus femelles puis nous lui avons présenté l’individu mâle, l’éponge de cuisine entière. Heureusement qu’il avait de l’humour, il a bien ri !

Quel est ton plus beau souvenir de boulot ?

Lorsque je suis arrivée à Ifremer, j’avais un rêve devenu depuis réalité à plusieurs reprises : plonger dans le sous-marin habité Nautile pour aller au plus près des sources hydrothermales ! Lors de ma 1ère plongée, qui était dans un sous-marin japonais, le Shinkai 6000, je devais découvrir un nouveau site hydrothermal actif à 1700m de profondeur. Hélas, la trajectoire définie n’était pas la bonne et c’est le lendemain qu’a été découvert le nouveau site tant attendu. J’étais un brin frustrée. Mais depuis, c’est toujours la même magie qui opère, de voir cette faune luxuriante et ces fumeurs qui crachent du fluide à 400°C de ses propres yeux, à travers un petit hublot, avec 3600m de colonne d’eau au-dessus de la tête !

 

Quels sont tes centres d’intérêt ?

La lecture de bons polars et les balades en bord de mer avec mon toutou.

As-tu une devise ?

« Ne rien lâcher pour toujours aller jusqu’au bout. » Valérie Cueff-Gauchard

Crédit photos

Franck Rosazza / Ifremer

Léa Grenet / Ifremer

Valérie Cueff-Gauchard / Ifremer

Contact

Valérie Cueff-Gauchard / Ifremer

 

Journée portes ouvertes UBO 2022

L’IUEM participe à la journée portes ouvertes de L’UBO le samedi 5 mars 2022 de 9h à 17h.
Cet événement est l’occasion de découvrir les différentes formations de masters enseignées à l’Institut.

Les scientifiques qui seront présents sur un stand IUEM à l’UFR Sciences répondront aux questions des futurs étudiants potentiels sur les formations suivantes :

L’Institut n’aura pas de stand à  l’UFR Droit ni Lettres mais les intervenants des stands de licence pourront répondre aux interrogations sur les :

Les visiteurs pourront échanger sur les débouchés, les spécificités de chaque parcours, les unités de formation… avec les enseignants-chercheurs, ingénieurs, doctorants, étudiants présents.

Les intervenants se relaieront sur des créneaux de 2 heures pour répondre aux questions posées ainsi que pour partager leur passion pour le monde de la recherche marine.

Crédit photo

Cécile Nassalang / CNRS

Contacts

Cécile Nassalang / CNRS

Ayoub Barghaze / UBO

 

 

One Ocean Summit University

La ville de Brest a été choisie pour recevoir, du 9 au 11 février 2022, un sommet international dédié à la protection de l’océan : One Ocean Summit. Cet évènement, organisé dans le cadre de la présidence française de l’Union Européenne, sera l’occasion de forums et de travaux d’ateliers d’experts mondiaux du domaine et se clôturera par une rencontre de responsables politiques de haut rang. Les ateliers sont invités à produire des appels à l’action et le sommet prendra des engagements en vue de renforcer la gouvernance internationale de l’océan.

Sur demande d’Olivier Poivre d’Arvor, ambassadeur des pôles et des enjeux maritimes en charge de l’organisation du sommet, l’Université de Bretagne Occidentale (UBO) prend l’initiative de mobiliser ses réseaux de coopération pour une contribution des jeunes chercheurs au One Ocean Summit.  Cette initiative est inscrite dans le programme officiel du sommet sous le nom de One Ocean Summit University. Elle s’articule autour de trois temps fort :

  • en amont, un vivier de jeunes chercheurs internationaux en sciences de la mer sera constitué et consulté sur les enjeux maritimes abordés au One Ocean Summit ;
  • les synthèses de ces travaux et des préconisations pourront être portées lors de l’événement de Brest ; puis en aval,
  • ce vivier de jeunes pourra poursuivre la dynamique comme groupe de réflexion.

Pour ce faire, un travail de compilation des différents contacts à la faveur de réseaux et projets en cours a déjà débuté. Début janvier, à la suite de sa constitution, ce groupe, sorte de convention de jeunes chercheurs internationaux (doctorants, post-doctorants), sera animé par l’équipe projet.

L’objectif est ici, par une démarche participative, de fédérer les expertises et dynamiques en présence afin de proposer un regard commun sur les enjeux de la recherche et de la formation à la recherche dans le contexte de la Décennie des Nations Unies pour les sciences océaniques au service du développement durable. Elle vise à produire des recommandations et à un appel à l’action (call for action).

Ces recommandations  seront  présentées dans les ateliers thématiques du One Ocean Summit par un panel d’ambassadeurs de ce groupe consultatif des jeunes chercheurs.

Sur la base de cette dynamique, le groupe des jeunes chercheurs pourrait poursuivre ce travail et prendre part à différentes initiatives et rendez-vous internationaux comme la Conférence Océan des Nations Unies qui se tiendra à Lisbonne du 27 juin au 1er juillet 2022.

 

Pour participer à l’aventure de l’Université du One Ocean Summit

  1. Consultez les thèmes des ateliers du One Ocean Summit et sélectionnez celui auquel vous souhaitez contribuer,
  2. Contactez l’équipe du projet et soyez prêt à participer,
  3. Rejoignez un groupe de jeunes chercheurs chez vous ou avec votre réseau international pour produire votre contribution au One Ocean Summit.

 

Équipe organisatrice

  • Yves-Marie Paulet, membre de l’European Marine Board, Vice-président mer de l’Université de Bretagne Occidentale (UBO), France
  • Denis Bailly, coordinateur de l’initiative Ocean University, Institut Universitaire Européen de la Mer (IUEM), Université de Bretagne Occidentale (UBO), France
  • Romain Le Moal, chargé de projet One Ocean Summit University

Avec le soutien de

ISblue au Salon étudiant des masters 2020 à Paris

Samedi 25 Janvier 2020, la 16ème édition du salon des masters et mastères spécialisés (SAMS) organisé par Le Groupe Le Monde (Le Monde, L’Obs, Télérama, Courrier International), a vu défiler pas moins de 6000 étudiants souhaitant poursuivre leurs études après la licence ou compléter leur formation avec un cursus spécialisé.

ISblue (Interdisciplinary School for the blue planet) était présente afin d’apporter un éclairage sur les différentes disciplines et divers parcours relatifs aux sciences et technologies de la mer et du littoral qu’elle dispense dans les écoles d’ingénieurs (ENSTA Bretagne, ENIB, IMT Atlantique), à l’Ecole navale, et à l’IUEM avec le Master Sciences de la Mer et du Littoral (SML).

Les enseignants-chercheurs Guillaume Roullet, Claire Hellio, Jean-François Maguer ainsi qu’Hugo Guillou, étudiant en Master SML mention Physique Marine parcours Hydrodynamique navale, et Aurélie Mercier, étudiante en Master SML mention Chimie et Sciences du vivant (et membre de l’Association étudiante de l’IUEM “Sea Ti Zen“), ont répondu sans relâche à toutes les questions des visiteurs : recrutement, sélection, cours, programme, stage, vie étudiante, débouchés..

 

L’équipe ISblue a pris part à cette journée aux côtés d’une centaine d’établissements : grandes écoles de commerce et d’ingénieurs, instituts, universités… Plus de 3 000 programmes, toutes spécialités confondues, étaient présentés sur les stands par les différents organismes participants. Des conférences thématiques animées par des journalistes du Monde et un « espace coaching » avec des coachs disponibles sans rendez-vous proposaient également un soutien à l’orientation des étudiants.

Une édition 2020 emprunte d’échanges, de dialogues animés et de belles images présentant les visions, les établissements et la région Bretagne qui aura éveillé un intérêt, si ce n’est une vocation, pour l’océan et son rôle vital pour notre planète dans un contexte de changement climatique.

Crédit photos

Fanny Place / UBO

Conférence sur les risques côtiers à Rabat

Cette conférence s’est tenue les 23 et 24 avril 2019 à l’Université Mohammed V de Rabat dans le cadre du projet Erasmus+ (Capacity Building) ScolaMAR. Elle a impliqué près de 80 chercheurs, étudiants, experts et parties prenantes de la gestion intégrée des zones côtières. Le principal objectif était de donner un aperçu des divers facteurs de risques côtiers au Maroc et en Europe sans oublier leurs impacts sur la stabilité et la gestion durable des côtes. Catherine Meur Férec et Alain Hénaff du laboratoire LETG ont dans cette perspective fait une communication.

Suite à cela, les partenaires se sont réunis le 25 avril dans le cadre du comité de pilotage annuel du projet. ScolaMAR prenant fin en octobre 2019, cette réunion de consortium a permis de faire le bilan des activités menées au cours des trois dernières années et de discuter sur la suite qui sera donnée dans l’optique de la future mise en place du programme de Master au sein des 4 universités marocaines (Tanger, Rabat, El Jadida, Kénitra).

Le programme de formation, basé sur l’expérience de développement de formation en sciences de la mer des universités européennes partenaires (Brest, Cadix, Algarve, Venise), a été soumis pour accréditation en mars 2019 auprès du Ministère marocain de l’Education Nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique. Selon le retour du Ministère, le master intitulé « Sciences du Littoral : Approche Pluridisciplinaire » pourrait débuter à la rentrée 2020.

Crédit photo : Justine Roddier / UBO

Pour plus de renseignement sur le projet et l’organisation de cette formation visitez  ScolaMAR.

Sciences de la Terre, des Planètes et de l’Environnement

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Master SML

Sciences de la Terre, des Planètes et de l’Environnement

Nous proposons une offre de formation aux métiers des géosciences et de l’environnement côtiers et marins en nous appuyant sur l’unité de recherche du Laboratoire Geo-Ocean basé à Plouzané (IUEM, UBO) et à Vannes (UBS), en collaboration étroite avec l’institut Géosciences Marines d’Ifremer.

Les compétences de ces deux unités s’étendent sur un large spectre de thématiques :  de la dynamique des littoraux à l’évolution du manteau terrestre en passant par la dynamique des rifts, des marges, des dorsales et de l’enregistrement sédimentaire, paléo-climatique et paléo-environnemental.  Les travaux proposent une approche pluridisciplinaire et multiproxy reposant sur les pôles instrumentaux : pôle spectrométrie océan-pôle instrumental en géophysique-pôle en sédimentologie/micropaléontologie/palynologie.

Les points forts de ce Master sont les nombreux terrains à terre et en mer réalisés tout le long de la formation, l’intervention de chercheurs de haut niveau des deux instituts, la possibilité de stages de recherche, entre autres possibilités, au sein de l’IUEM, d’Ifremer ou du SHOM.

Parcours

Géosciences Océan (GO)

Le Parcours Géosciences Océan est fortement adossé au laboratoire éponyme. Les diplômés de ce master pourront élaborer et concevoir des projets de recherche, assurer des activités d’expertise et de conseil au sein de structures publiques ou privées dans les domaines des géosciences et, en particulier, des géosciences marines. Ce master permet notamment la poursuite en doctorat dans le domaine des Géosciences marines et en particulier sur les thèmes suivants : marges, dorsales, rifts, ressources minérales, sédimentologie, paléo-environnements, paléo-climats, géochimie marine.

Téléchargez la présentation complète de la formation et de son contexte scientifique et local.

Retour du stage de terrain dans les Alpes

Retour de stage de terrain en Angleterre

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Ingénierie et Gestion des Ressources Côtières et Littorales (IGRECL)

Le parcours IGRECL a clairement pour vocation une insertion professionnelle non académique dans la gestion des ressources côtières et littorales auprès des PME du secteur d’activité, des collectivités territoriales, des grands groupes dont les travaux affectent ces environnements. Les étudiants auront à la fin de ce parcours des compétences pluridisciplinaires en gestion et exploitation des ressources minérales et biologiques avec appréhension des notions de risque et vulnérabilité. Ces compétences leur permettront de s’adapter, d’anticiper et de répondre aux stratégies d’aménagement des espaces côtiers en tenant compte du cadre juridique et socio-économique européen.

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Logiciels pédagogiques

Les formations STU (Sciences de la Terre et de l’Univers) de l’UBO bénéficient depuis décembre 2018 d’un accès gratuit à la suite logicielle MOVE de la Société PETROLEUM EXPERTS, dans le cadre d’une convention signée entre le Département des Sciences de la Terre de l’UBO et cette Société. L’équivalent commercial de cette donation de suite logicielle MOVE se monte à 1.308.000,00 £.

Cette suite logicielle est la « boîte à outils » d’analyse et de modélisation en géologie structurale qui est la plus complète disponible. Elle fournit un environnement numérique complet pour rendre compte en 3 dimensions de propriétés et caractéristiques géologiques en réduisant les risques et les incertitudes des modèles géologiques. C’est une plateforme qui sert à l’intégration et l’interprétation de données géophysiques, la construction de coupes, la construction de modèles 3D, la restauration et la validation cinématiques, la modélisation géo-mécanique, la modélisation de fractures, la modélisation du rôle des failles et l’analyse des relations entre failles et contraintes tectoniques.

Le département des Sciences de la Terre et l’Université de Brest (UBO) remercient sincèrement la société ” PETROLEUM EXPERTS Limited” pour la donation qu’elle lui accorde pour l’usage gratuit de la suite de logiciels MOVE. Cet outil va nous permettre de former nos étudiants en Licence 3 (à l’UFR Sciences et Techniques du Bouguen) et en Master 1 et 2 (à l’IUEM, Institut Universitaire Européen de la Mer) à l’utilisation en salle de ce logiciel professionnel couramment utilisé dans les bureaux d’études, les cabinets de consultants et les grandes entreprises des Géosciences travaillant sur les réservoirs géologiques. Pour les doctorants, les bases de données dont ils disposent (le plus souvent, des données bathymétriques et des profils denses de sismique-réflexion) peuvent ainsi être significativement valorisées selon les objectifs de leurs travaux de thèse.

Pour en savoir plus :

Les formations en Sciences de la Terre de l’UBO bénéficient de la mise à disposition gratuite du Logiciel Kingdom Suite distribué par la société IHS Markit à travers le programme University Grant Program renouvelé chaque année depuis 2008.

Le logiciel Kingdom Suite est une référence mondiale incontournable pour l’interprétation sismique 2D et 3D et permet l’intégration de données géophysiques et géologiques offrant des utilisations très variées en recherches fondamentales et appliquées. Le logiciel est utilisé en salle à des fins d’enseignement en Master pour les parcours Géosciences Océan et Ingénierie et Gestion des Ressources Côtières et Littorales. Il est également utilisé lors des campagnes d’enseignement à la mer et pour les projets menés individuellement par les doctorants du Laboratoire Géosciences Océan.

Le département des Sciences de la Terre et l’Université de Brest (UBO) remercient sincèrement la société  IHS Markit pour l’agrément qu’elle leur accorde pour l’usage gratuit du logiciel Kingdom Suite.

Système d’Information Géographique Libre et Open Source

En savoir plus

Langage de programmation de calcul technique, logiciel payant, licence acquise au Laboratoire.

En savoir plus

Langage de programmation de calcul technique, logiciel libre de calcul numérique comparable à MATLAB.

En savoir plus

Les formations en Sciences de la Terre de l’UBO bénéficient depuis 2022 de la mise à disposition gratuite de la « Q-suite » distribué par la société QPS. Cette suite comporte plusieurs logiciels principalement dédiés à la bathymétrie :

-Le logiciel Qinsy. Il est dédié à la préparation des missions ou surveys océanographiques, à l’acquisition hydrographique et traitement en temps réel à bord des navires pour la bathymétrie multifaisceaux, mais aussi l’imagerie sonar latéral, la magnétométrie.

-Le logiciel Quimera. Il est dédié au traitement et à l’interprétation des données suite au levés de bathymétrie multifaisceaux. Il rend le traitement des données hydrographiques de manière didactique et aussi simple et intuitif que possible. Qimera est à ce jour l’application la plus puissante pour toutes les applications de traitement bathymétriques : intégration des dernières technologies et design pour optimiser la facilité d’utilisation. Ce logiciel est compatible des principaux formats de données sonar, et a révolutionné la gestion des données par la création de flux de données dynamiques.

-Le logiciel Fledermaus. Pour l’analyse geo-spatial 4D avec integration video et edition film. Un standard pour la présentation et communication s’intégrant dans le workflow QPS et permettant l’intégration des données multifaisceaux, réflectivité, colonne d’eau et autres données SIG sur une même vue.

La suite QPS est utilisé en salle à des fins d’enseignement en Master pour les parcours Géosciences Océan et Ingénierie et Gestion des Ressources Côtières et Littorales. Il est également utilisé lors des campagnes d’enseignement à la mer et pour les projets menés individuellement par les doctorants du Laboratoire Géosciences Océan. Il est aussi utilisé pour la formation de Licence hydrographique.

Le département des Sciences de la Terre et l’Université de Brest (UBO) remercient sincèrement la société  QPS  pour l’agrément qu’elle leur accorde pour l’usage gratuit des logiciels.

Pour en savoir plus.

Contacts


Responsable du Master :

Christine AUTHEMAYOU (Envoyer un email)

Parcours GO :

M1 : Aurélie PENAUD (Envoyer un email)

M2 : Christine AUTHEMAYOU (Envoyer un email)

Parcours IGRECL :

Evelyne GOUBERT (Envoyer un email)

Physique

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Master SML

Physique

Ce Master international est co-accrédité par l’IUEM à l’UBO et par l’ENSTA Bretagne. Il vise à donner aux étudiants la connaissance des propriétés physiques et dynamiques du milieu marin et des éléments d’ingénierie qui s’y rapportent (navires en particulier). Il comporte 4 parcours : Physique de l’Océan et du Climat (POC), Géophysique Marine (GM), Hydrodynamique Navale (HN) et Sciences des Données Océaniques (SDO).
Les parcours GM, HN et POC ont un bloc commun en M1 : mécanique des fluides, des solides, mathématiques appliquées, analyse de données, modélisation numérique. Les spécialisations pour chaque parcours sont plus importantes en M2.
Le parcours SDO n’est proposé qu’en M2.
La formation s’appuie sur des stages longs de recherche académique ou industrielle en fin de M2.

Ce Master permet l’accès à la formation doctorale dans le cadre de l’École Doctorale des Sciences de la Mer et du Littoral, ainsi qu’aux emplois d’ingénieur d’étude dans de nombreuses entreprises régionales, nationales ou étrangères. Le contexte Brestois est en effet particulièrement développé pour les sciences et technologies marines.

Le nouveau parcours Sciences des Données Océaniques a ouvert à la rentrée 2020. Suivre ce parcours puis faire un an de Géomatique Marine à l’ENSTA Bretagne (sous réserve d’admission sur dossier) ouvrira au diplôme de cette grande École d’Ingénieurs.

The Marine Physics/Marine Sciences program in cooperation with graduate engineering schools in Brest, is international and taught essentially in English (see the site for more information). 

The program focuses on the physics of the sea (POC specialty), of the Earth particularly under the sea (GM specialty) and of ships and naval structures (HN specialty). In M1 the common scientific basics (Fluid and solid mechanics, applied maths, numerical analysis) are taught. In M2, the specific knowledge of each specialty is taught. Projects and internships are essential in the program. Relation with research centres and with private companies are central to research training.

Attending and validating this specialty and then validating the (one-year) specialty Marine Geomatics (provided the results of the M2 are good) would lead to obtaining the Engineering Degree of ENSTA Bretagne.

More precise information in English about our program and how to apply can be obtained by contacting Master.Marphys@univ-brest.fr

Parcours

Physique de l’Océan et Climat

Le parcours s’appuie sur le Laboratoire d’Océanographie Physique et Spatiale (LOPS), le Laboratoire des Sciences de l’Environnement Marin (LEMAR), toutes deux des laboratoires de recherche de l’IUEM, le département Hydrographie, Océanographie et Météorologie du SHOM, le laboratoire d’Hydrodynamique côtière du CEREMA. Débouchés : recherche, enseignement-recherche, bureaux d’études (impact de la circulation océanique, ou des événements extrêmes sur les structures en mer, sur l’érosion du littoral, sur l’écologie marine, sur l’exploitation des ressources marines, ou l’évolution des nappes de pollution).

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Géophysique Marine

Le parcours s’appuie sur le Laboratoire Geo-Ocean (GO) qui est une unité de recherche, et le département Géosciences Marines d’lfremer.

Débouchés : recherche, enseignement-recherche, recherche et développement dans les domaines des énergies marines, du offshore/pétrolier, des ressources minérales marines, et dans des bureaux d’études (transports sédimentaires, risques côtiers…).

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Hydrodynamique Navale

Le parcours s’appuie sur l’Institut de Recherche Dupuy de Lôme (IRDL, FRE, Brest) et l’Institut de Recherche de l’École Navale (IRENAV).

Débouchés : recherche, enseignement-recherche, bureaux d’études et centres d’essais, énergies marines, architecture et construction navale.

Voir la fiche formation sur le catalogue officiel de l’UBO

Ocean data science

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Contacts


Responsable du Master

Xavier CARTON
Envoyer un mail

Responsable du M1

Olivier Arzel
Envoyer un mail

Responsables de M2

  • Parcours Géophysique marine

Cécile GRIGNÉ
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  • Parcours Hydrodynamique navale

Pierre-Michel GUILCHER
Envoyer un mail

  • Parcours Physique de l’océan et climat

Xavier CARTON
Envoyer un mail