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Phycotox 2023 : Conférence annuelle GdR Phycotox – GIS Cyanobactéries 2023

Cette année, le GdR phycotox, co-porté par Hélène Hégaret (CNRS, LEMAR) et Philipp Hess (Ifremer-Nantes), organise sa réunion annuelle conjointement avec le GIS Cyanobactéries, autour d’une conférence scientifique qui se déroule en présentiel à l’Ifremer Nantes du 23 au 25 mai 2023.

https://phycotox2023.sciencesconf.org/

Le GdR PHYCOTOX a été créé en 2013 afin de rassembler les acteurs de la communauté scientifique spécialistes des micro-algues toxiques et nuisibles et de leurs impacts sur la santé humaine et environnementale. Il a été renouvelé en 2018 pour 5 ans afin de poursuivre le travail collaboratif dans le but de répondre à des enjeux sociétaux fondamentaux et aider les secteurs touchés par ces phénomènes (aquaculture, pêche, tourisme etc.) et les évaluateurs et les gestionnaires du risque

https://tinyurl.com/d7z98nu4

GDR plasticité phénotypique

Le groupement de recherche 3715 Plasticité Phénotypique (PlasPhen) est un réseau français de recherche financé par le CNRS, sur le thème de la plasticité phénotypique. Celle-ci peut se définir au sens large comme la réponse des phénotypes à leur environnement de développement ou d’expression, pour un génotype donné. L’objectif de ce GDR est de promouvoir les échanges entre chercheur·e·s et enseignant·e·s-chercheur·e·s basés en France, et dont les travaux traitent de la plasticité phénotypique, sa génétique et son évolution. La diversité des phénotypes, environnements, et organismes étudiés dans ce GDR est est illustrée par le word cloud ci-dessus, réalisé en direct par les participants de la réunion 2020 du GDR et à retrouver sur le site internet du GDR :

https://plasticite-phenotypique.cnrs.fr/

Ce GDR est co-animé scientifiquement par Luis-Miguel CHEVIN (CEFE CNRS, Montpellier) et Vincent Debat (ISYEB MNHN, Paris), et géré administrativement par le CEFE, à Montpellier. Il s’agit de son second mandat pour une durée de 5 ans (2019-2023), faisant suite à un premier mandat de 4 ans (2015-2018).

Les membres du LEMAR principalement impliqué.e.s dans ce GDR sont : Guy Claireaux, Gregory Charrier, David Mazurais, Karine Salin, Arianna Servili, José Zambonino

GDR OMER

Alors que l’océan est au centre de  débats et d’enjeux scientifiques, politiques et sociétaux, le CNRS, , propose de relever le défi avec ses partenaires, de la création d’un GDR thématique “Océan et Mers” (OMER). Ce GDR a pour objectif principal de faire émerger des recherches interdisciplinaires à l’interface entre les cœurs de métier des instituts du CNRS, pour répondre de façon innovante aux enjeux identifiés.

 

Le GDR thématique “Océan et Mers” (OMER)  sera centré sur l’océan et les mers et donc sur des domaines thématiques pluriels souvent connexes, avec cinq missions principales :

  • Une mission d’animation de la communauté scientifique française (tous les partenaires) qui se reconnaît autour de l’objet Océan et qui se concrétisera principalement, mais pas exclusivement, par l’organisation de réunions scientifiques.
  • Une mission de coordination des activités de recherche et de propositions de nouvelles thématiques autour de l’objet “Océan”.
  • Une mission de veille scientifique et de prospective dans son champ thématique pour permettre à la direction du CNRS de suivre les évolutions du domaine en termes de résultats, de nouveaux défis scientifiques et d’enjeux de société.
  • Une mission de “formation” des professions pour le développement de la recherche en société (journaliste, magistrat, préfets, parlementaires…), de formation transversale des doctorants et post-doctorants et de formation permanente.
  • Une mission de valorisation et de diffusion des travaux sur les mers et l’océan en s’appuyant notamment sur la promotion d’un travail de recherche placé entre Art et Sciences.

 

Ce GDR est un outil d’animation de la recherche océanographique, pour le CNRS, et l’ensemble de ses partenaires. Il accueillera philosophes, biologistes, mathématiciens, juristes, généticiens, géographes, écologistes, artistes, historiens, géologues, économistes, taxonomistes, chimistes, logisticiens, roboticiens, développeurs et modélisateurs et un club de partenaires.

 

Plus d’informations sur le GDR OMER

GDR Plastiques, environnement, santé

Après 5 années le GDR Polymères et Océans est renouvelé par le CNRS et change de nom, il devient le GDR Plastiques, Environnement, Santé. Ce changement s’accompagne de l’élargissement de ses thématiques et quelques autres nouveautés comme l’organisation de wébinaires par les jeunes scientifiques de la communauté.

Le Groupement de recherche 2050 Plastiques, Environnement, Santé, rassemble la communauté francophone travaillant sur la présence des plastiques et contaminants associés dans tous les milieux (sol, air, eau) et leur impact sur la santé des écosystèmes et de l’Homme dans le but de favoriser le développement des approches multi-échelles et transdisciplinaires pour fédérer les communautés scientifiques concernées par la pollution plastique : chimistes, physiciens, biologistes, écologues, toxicologues, écotoxicologues, économistes et sociologues.

Les 4 axes de recherche de ce GDR sont :

  • Continuum air-sol-eau : niveaux de contamination et transfert entre compartiments
  • Interactions et transformation des plastiques dans les compartiments environnementaux et les organismes vivants
  • Évaluation du risque de la pollution plastique sur les écosystèmes et la santé humaine
  • Plastiques et Société

Plus d’infos sur le site web du GDR Plastiques, Environnement, Santé

Ika Paul-Pont est la directrice de ce GDR et Arnaud Huvet est impliqué dans le conseil scientifique de ce GDR.

 

GDR MediatEC

Le GDR MediatEC s’intéresse à l’écologie chimique, autrement dit aux communications chimiques entre espèces et également aux composés qu’ils produisent ou stockent pour s’adapter aux variations biotiques et abiotiques de leur environnement.

MediatEC, GDR 3658 du CNRS, rassemble des chercheurs français autour d’une thématique commune, l’écologie chimique. Ce GDR a vu le jour en 2014 lors du rassemblement de deux communautés de chercheurs : i) des biologistes, microbiologistes et écologues étudiant majoritairement le monde terrestre ii) des chimistes des substances naturelles étudiant majoritairement le monde aquatique.

Les principales raisons justifiant ce rapprochement ont été :

  • Les biologistes et microbiologistes ont besoin des connaissances du chimiste pour caractériser les molécules à l’origine de la communication chimique étudiée. De façon générale, leur expertise en chimie structurale n’est pas toujours suffisante pour parfaire l’identification de ces médiateurs, surtout lorsqu’il s’agit de molécules très complexes. De plus et malgré des apports importants à l’écologie chimique, l’avènement d’approches globales en métabolomique a mis en évidence les difficultés liées à l’identification des médiateurs présents dans des mélanges ;
  • Du côté des chimistes des substances naturelles, souvent tournés vers l’identification de substances aux propriétés olfactives, cosmétiques ou pharmaceutiques, cela représente une opportunité de mieux comprendre le rôle de ces molécules dans leur environnement naturel à travers des interactions fructueuses avec leurs collègues écologues ;
  • Un lieu d’échange entre chercheurs des domaines marin et terrestre est également une vraie valeur ajoutée pour les deux domaines et permet de renforcer la visibilité internationale de cette thématique relativement jeune en France ;
  • Enfin, l’écologie chimique se développe aujourd’hui autour d’infrastructures de grande ampleur, telles que les observatoires ou les écosites, et elle s’appuie sur le développement des sciences omiques qui nécessitent aussi des plateformes couteuses. La structuration en GDR soutenu par le CNRS est une condition sine qua non au développement et au maintien de ces infrastructures.

Plus d’infos sur le site web du GDR MediatEC.