Cynthia OLIVEIRA

Ecologie microbienne et moléculaire

Ingénieure de recherche
Université de Bretagne Occidentale

Affectation

Laboratoire LEMAR

Panorama

Mes recherches actuelles portent sur le microbiote de la palourde japonaise (Ruditapes philippinarum) et la relation entre la diversité du microbiote, l’état de santé de la palourde et les facteurs environnementaux. Je cherche à : (i) mieux comprendre l’effet du pathogène Vibrio tapetis (responsable de la MAB : maladie de l’anneau brun) sur la diversité du microbiote de la palourde, (ii) analyser le rôle du microbiote et de la température dans la sensibilité de la palourde à V. tapetis et la potentielle guérison de la MAB, et (iii) en savoir plus sur les origines des souches pathogènes de V. tapetis

 

Parcours antérieur

De formation microbiologiste et biologiste moléculaire, j’ai réalisé une thèse en écologie microbienne entre le M2C (UMR 6143) et l’IPREM (UMR 5254, EEM) : Diversité des intégrons dans des sédiments estuariens anthropisés.

Depuis 2019, j’ai travaillé comme IR/ post-doc au LEMAR, d’abord sur le microbiote de la palourde japonaise et de l’effet du pathogène V. tapetis sur celui-ci (projets VIVALDI et MICROPAL) puis sur la diversité du biofilm de fixation des larves d’ormeaux en contexte d’acidification des océans (projet ATM biofilm, collaboration avec le MNHN, Concarneau). J’ai principalement travaillé sur des analyses de diversité (procaryotes, eucaryotes, gène fonctionnel) par approches moléculaires (métabarcoding notamment), bioinformatiques et statistiques.

En 2022 et 2023, j’ai travaillé au LETG sur le projet SeaLex (ISblue) en sclérochronologie et biologie moléculaire en contexte archéologique.

Aujourd’hui, je poursuis le travail sur le microbiote de la palourde japonaise et sa relation avec l’environnement, cette fois-ci dans le cadre du projet CLIMCLAM.

Participation aux projets de recherche