L’IUEM regroupe sept laboratoires (Unités mixtes de recherche associant l’UBO, le CNRS, l’IRD, l’Ifremer et l’UBS) où travaillent près de 500 chercheurs, enseignants-chercheurs, ingénieurs, techniciens et administratifs permanents et contractuels.
Ecole interne de l’Université de Bretagne Occidentale (UBO), l’IUEM propose au sein du domaine de formation Sciences de la Mer et du Littoral (SML), huit cursus de master très étroitement associés à ses laboratoires et abrite également l’École Doctorale des Sciences de la Mer et du Littoral (EDSML), école pluridisciplinaire associant 25 laboratoires d’accueil, au sein et à l’extérieur de l’IUEM.
L’IUEM, en tant qu’Observatoire des Sciences de l’Univers (OSU), contribue à une mission nationale d’observation portée par une unité de service dédiée. L’océan y est observé depuis le littoral jusqu’au domaine hauturier, de la surface aux grands fonds et dans tous ses aspects : océan vivant et physique, interfaces côtes et fond, utilisation et gestion par les Hommes.
Scientifiques, techniciens et administratifs
Etudiants de master
Doctorants
de sciences de la mer et du littoral
Six ans après le lancement de l’IUEM, par Paul Tréguer, en 1991, l’Institut est officiellement créé en 1997. Le personnel travaillant en sciences de la mer à l’UBO est hébergé dans de nouveaux locaux sur le Technopôle de Plouzané.
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Le Ministère nomme Paul Tréguer, fondateur de l’Institut, comme premier Directeur pour une durée 5 ans. Il sera reconduit en 2003 pour un deuxième mandat.
Le CNRS reconnaît l’IUEM comme Fédération de Recherche. L’Institut intègre par ailleurs le « Réseau National des Stations Marines »
Unique en France, le master SML a pour objectif de former des chercheurs et des cadres capables d’appréhender les enjeux scientifiques actuels et d’apporter des réponses adaptées aux problèmes en relation avec les domaines marins et littoraux.
Habilité par le CNRS, la mission première d’un Observatoire des sciences de l’univers (OSU) est d’observer le système Terre au service d’une large communauté nationale et internationale et d’accueillir des enseignements de master et de doctorat.
Créé, en 2004, pour favoriser la synergie sur des projets de recherche communs de haute volée dans l’Ouest de la France, l’Europôle Mer est reconnu par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche comme Groupement d’intérêt scientifique (GIS) et est doté de 4 millions d’euros. David Nelson, originaire de l’Oregon State University, est nommé directeur.
L’IIRD devient tutelle du LEMAR et du LOPS. L’IRD est un organisme pluridisciplinaire dédié à la recherche dans le domaine du développement et à la coopération scientifique avec les pays du Sud. Yves-Marie Paulet prend la direction de l’Institut.
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Navire de station de l’IUEM et du parc naturel marin d’Iroise, il est mobilisé en soutien de diverses activités d’observation, de recherche et d’enseignement.
Coordonné et géré à l’IUEM, le LabexMER dispose d’un plan d’actions sur 10 ans et est doté de 11 millions d’euros. Il réunit 12 unités de recherche du Grand Ouest spécialisées en sciences et technologies.
Coordonnée par le LEMAR et le LETG, son objectif est d’améliorer la compréhension du fonctionnement et de l’évolution du socio-écosystème côtier dans un contexte de changement et dans une perspective de gestion intégrée.
Celle-ci est destinée à former des enseignants du second degré sur les thématiques sociétales liées à la mer et au littoral. Elle réunit chaque année de plus en plus d’enseignants de toute la France et de l’étranger.
Cette organisation de coopération scientifique réunit les organismes de recherche et les consortiums d’universités européennes dans le domaine des sciences et technologies de la mer. Anne Marie Tréguier devient directrice.
Jusqu’alors peu associé aux discussions sur le changement climatique, l’océan était au cœur des négociations. L’IUEM était présent pour prendre part au débat, en réalisant une exposition « Océan et climat connectés dans le changement », en participant au train du climat et à d’autres manifestations organisées sur Paris.
Il a été construit pour accueillir les laboratoires LOPS et AMURE partagés jusqu’alors entre le campus universitaire et l’Ifremer. Réunir tous les laboratoires sur le même lieu permet de favoriser les échanges entre les scientifiques.
Le projet d’École Universitaire de Recherche (EUR) ISblue «Interdisciplinary School for the blue planet» est retenu. Il se voit doté de 11,1 M€ pour une période de 10 ans.
Institut Universitaire Européen de la Mer – 2023
L’IUEM est membre de l’École Universitaire de Recherche ISblue
